Le porte-hélicoptère le « Mistral » et la frégate Guépratte ont accosté à La Réunion, au Port-Est et au Port-Ouest, ce vendredi 10 avril. Ces deux navires militaires vont assurer le transport de fret humanitaire et logistique entre notre île et Mayotte.
Deux navires militaires sont arrivés à La Réunion, ce vendredi 10 avril, pour l’opération « Résilience » destinée à lutter contre le coronavirus dans la zone.
Engagés dans la mission Jeanne d’Arc, ces deux bâtiments de la Marine Nationale ont accosté ce matin. La frégate légère furtive Guépratte a accosté au Port-Est, la première. Le porte-hélicoptère « Mistral » a ensuite accosté au Port-Est.
Regardez les images d'Imaz Press:
Les deux bâtiments de la Marine nationale ne seront pas utilisés comme « bateaux-hôpitaux ». L’armée explique qu’elle ne bénéficie pas à ce jour, de ressources humaines et matérielles nécessaires pour l'adapter, mais elle n’exclut pas de le faire « en cas de crise sanitaire grave, à La Réunion et à Mayotte ».
Engagés dans la mission Jeanne d’Arc, ces deux bâtiments de la Marine Nationale ont accosté ce matin. La frégate légère furtive Guépratte a accosté au Port-Est, la première. Le porte-hélicoptère « Mistral » a ensuite accosté au Port-Est.
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200 marins à bord
Annoncé le 25 mars dernier, par le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, le « Mistral » doit apporter un « soutien sanitaire ». Il a d’abord fait une escale à Mayotte pour y distribuer de l’aide alimentaire. 200 marins sont à bord du « Mistral » dont onze Réunionnais, huit Mahorais, et près de 140 officiers-élèves en formation.Transport de fret entre La Réunion et Mayotte
Ces deux navires militaires vont servir à transporter le fret humanitaire et logistique entre La Réunion et Mayotte. D’une capacité de 1000 tonnes, le « Mistral » permettra de ravitailler Mayotte en produits de première nécessité et en matériel médical.Les deux bâtiments de la Marine nationale ne seront pas utilisés comme « bateaux-hôpitaux ». L’armée explique qu’elle ne bénéficie pas à ce jour, de ressources humaines et matérielles nécessaires pour l'adapter, mais elle n’exclut pas de le faire « en cas de crise sanitaire grave, à La Réunion et à Mayotte ».