Il devrait y avoir foule à Saint-André devant le lycée Jean-Perrin, à 16 heures ce vendredi, pour participer à la marche blanche en mémoire des trois lycéens fauchés lundi. Deux sont morts, la troisième est hospitalisée dans état grave.
Le cortège démarrera à 16 heures devant le lycée Jean-Perrin et se dirigera vers le lycée Sarda-Garriga. En chemin, en face du second établissement scolaire, la foule se recueillera en mémoire des lycéens, âgés de 16 et 17 ans, décédés et de la troisième victime toujours hospitalisée à Bellepierre. En plus de la douleur physique, elle doit faire face au deuil de ses amis.
Au niveau de l'accident, après une minute de silence, les participants déposeront une fleur blanche, puis les lycéens lacheront des ballons pour dire au monde : "Plus jamais ça !
Où est la voiture qui a été évitée ?
Le Saint-Andréen de 18 ans, responsable de la tragédie, a été placé en détention provisoire. Face au juge des libertés et de la détention, il a fini par admettre qu'il roulait trop vite au moment de la tragédie. Les experts de la police de la route, estiment la vitesse entre 80 et 120 km/h, lui a reconne qu'il devait circuler de 60 à 70 km/h quand il a fauché les trois lycéens.
Désormais, le dossier est entre les mains d'un juge d'instruction qui va tenté d'établir comment les faits se sont réellement déroulé. Le mis en cause a palé d'une voiture qu'il a évité avant le drame...
La marche blanche a rassemblé des centaines de personnes, en fin d'après-midi ce vendredi.
Au niveau de l'accident, après une minute de silence, les participants déposeront une fleur blanche, puis les lycéens lacheront des ballons pour dire au monde : "Plus jamais ça !
Où est la voiture qui a été évitée ?
Le Saint-Andréen de 18 ans, responsable de la tragédie, a été placé en détention provisoire. Face au juge des libertés et de la détention, il a fini par admettre qu'il roulait trop vite au moment de la tragédie. Les experts de la police de la route, estiment la vitesse entre 80 et 120 km/h, lui a reconne qu'il devait circuler de 60 à 70 km/h quand il a fauché les trois lycéens.
Désormais, le dossier est entre les mains d'un juge d'instruction qui va tenté d'établir comment les faits se sont réellement déroulé. Le mis en cause a palé d'une voiture qu'il a évité avant le drame...
La marche blanche a rassemblé des centaines de personnes, en fin d'après-midi ce vendredi.