Deux étudiants d'Antsiranana viennent de fabriquer un drone pour lutter contre le braconnage, les coupes sauvages de bois précieux et prévenir les feux de forêt. Ils ont présenté leur création lors de leur mémoire de fin d'études en Mécatronique à Polytechnique. Ils ont décroché 19.75/20.
Leur drone ressemble, comme deux gouttes d'eau, à ceux produits par l'industrie aéronautique et militaire européenne ou américaine, pourtant les deux étudiants malgaches ont fabriqué leur objet volant identifié avec les moyens du bord.
Le jury a été impressionné par le résultat. Bardé d'électronique, le petit avion peut emporter "dans sa soute" une charge de 1,5 kg.
Ces appareils ont fleuri en France, et pas seulement, lors des manifestations et pour faire respecter le confinement.
Les polytechniciens malgaches destinent leur création à un aspect plus écologique. Ce drone est conçu pour survoler et protéger les forêts. Ils espèrent pouvoir aider les agents de l'environnement de Madagascar à lutter contre les incendies, la coupe des bois précieux et le braconnage.
Non-content de présenter un drone opérationnel, pour illustrer leurs mémoires de fin d'études à l'École Polytechnique, les deux brillants élèves ont su expliquer les raisons de cette démarche qui a été induite par leurs apprentissagesdans le cadre de leur Master ingénieur Mécanique.
Dans un français impeccable, écrit L'Express de Madagascar, les deux futurs ingénieurs ont convaincu le jury de la pertinence de leur projet. Ils ont décroché 19,75/20.
Le quart de point manquant est très symbolique ! "La perfection n'existe pas", disait Alfred de Musset.
Le jury a été impressionné par le résultat. Bardé d'électronique, le petit avion peut emporter "dans sa soute" une charge de 1,5 kg.
Ces appareils ont fleuri en France, et pas seulement, lors des manifestations et pour faire respecter le confinement.
Les polytechniciens malgaches destinent leur création à un aspect plus écologique. Ce drone est conçu pour survoler et protéger les forêts. Ils espèrent pouvoir aider les agents de l'environnement de Madagascar à lutter contre les incendies, la coupe des bois précieux et le braconnage.
19,75/20 à l'examen final
Non-content de présenter un drone opérationnel, pour illustrer leurs mémoires de fin d'études à l'École Polytechnique, les deux brillants élèves ont su expliquer les raisons de cette démarche qui a été induite par leurs apprentissagesdans le cadre de leur Master ingénieur Mécanique.
Dans un français impeccable, écrit L'Express de Madagascar, les deux futurs ingénieurs ont convaincu le jury de la pertinence de leur projet. Ils ont décroché 19,75/20.
Le quart de point manquant est très symbolique ! "La perfection n'existe pas", disait Alfred de Musset.