Huit suspects sont en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de l’île Sainte-Marie, 7 malgaches et un français. Ce dernier est l’ex-copain de la jeune femme assassiné. Le parquet de Paris va participer à l’enquête.
Le parquet de Paris vient d’annoncer qu’il se saisissait de l’enquête sur les meurtres de Magalie Chaigneau et Romain Bollon, deux jeunes français bénévoles au sein de la l’association Cetamada, retrouvés morts sur une plage de l’île Sainte-Marie, ce dimanche 22 Août 2016 au petit jour.
Depuis les enquêteurs de la gendarmerie malgache ont placé huit personnes en garde à vue, 7 hommes originaire de la Grande-Ile et un « Vahaza » qui n’est autre que l’ex-compagnon de Magalie.
Il est encore trop tôt pour savoir s’il est impliqué dans ce double homicide. Les militaires en charge du dossier qui ont procédé à des perquisitions parlent de : « présomption, sans confirmation « , relève l’Express de Madagascar.
La coopération entre Madagascar et la France s’organise
Les parents de Magalie Chaigneau ont porté plainte contre x auprès du parquet de Paris. Les procureurs des deux pays sont en contact et mettent au point les modalités de la coopération de leurs services judiciaires dans cette enquête.
Pour mémoire, les victimes françaises travaillaient bénévolement pour Cetamada, une association qui œuvre pour l’environnement et les protections des mammifères marins.
Depuis les enquêteurs de la gendarmerie malgache ont placé huit personnes en garde à vue, 7 hommes originaire de la Grande-Ile et un « Vahaza » qui n’est autre que l’ex-compagnon de Magalie.
Il est encore trop tôt pour savoir s’il est impliqué dans ce double homicide. Les militaires en charge du dossier qui ont procédé à des perquisitions parlent de : « présomption, sans confirmation « , relève l’Express de Madagascar.
La coopération entre Madagascar et la France s’organise
Les parents de Magalie Chaigneau ont porté plainte contre x auprès du parquet de Paris. Les procureurs des deux pays sont en contact et mettent au point les modalités de la coopération de leurs services judiciaires dans cette enquête.
Pour mémoire, les victimes françaises travaillaient bénévolement pour Cetamada, une association qui œuvre pour l’environnement et les protections des mammifères marins.