Maurice : cinq sportifs mauriciens qualifiés pour les J.O. de Paris 2024

La jeune marathonienne mauricienne, Marie Perrier, participera au J.O. de Paris 2024. Elle a décroché son ticket pour le marathon à Valence en décembre 2023.
Vingt pour cent des tickets attribués aux sportifs pour les Jeux olympiques 2024 sont encore accessibles. Cinq sportifs mauriciens sont assurés de participer à cette grande fête du sport. Ils représenteront l’île sœur en marathon, cyclisme et kitesurf.

Les dernières places attribuées aux sportifs pour les J.O. de Paris 2024 se disputent, en ce moment. De nombreuses compétitions offrent la possibilité aux postulants et postulantes de décrocher le pass. 20% des 1 810 places sont encore accessibles.

À l’île Maurice, de nombreux athlètes tentent actuellement de décrocher un ticket pour les Jeux olympiques de Paris.

Cinq athlètes mauriciens sont sûrs de faire le voyage. Marie Perrier, double médaillée d’or lors des jeux des îles de l’océan Indien, a réalisé les minima à Valence au mois de décembre 2023. La coureuse de fond a bouclé les 42km195 du parcours espagnol en 2h26’19’’, confirme valenciaciudadrunning.com. Cette performance lui a permis de s’installer au 62ème rang mondial et de décrocher sa place pour le marathon lors des J.O. de Paris, nous apprend la MBC.

80% des sportifs déjà qualifiés


Elle fait partie des 80% de sportifs déjà qualifiés. Une liste dont font déjà partie les Mauriciens : Julie Paturau comme Jean de Falbaire pour le kitesurf, Christopher Lagane et Kimberley Lecourt de Billot en cyclisme. D’autres noms devraient les accompagner, mais chaque jour la fenêtre, pour être l’un des 1 810 athlètes des cinq continents présents, se réduit.

De nombreuses opportunités vont encore se présenter, mais plus l’athlète tarde à s’imposer, moins il disposera de temps pour préparer l’échéance finale. Les compétiteurs de tous les pays, au-delà du titre, veulent se surpasser le jour des Jeux. C’est la compétition sportive ultime. Une occasion unique de graver son nom dans l’histoire de son sport, au moins dans son pays.

Rappelons que les critères sont moins exigeants selon les pays et selon les sports. Le nombre de place varie en fonction du niveau des athlètes dans une discipline au sein de la hiérarchie mondiale.