Ce n'est pas la première industrie mauricienne qui emploie des ouvriers Bangladais, mais cette fois, ce sont les conditions de vie et d'embauche de cette main d'œuvre qui a choqué dans l'île sœur. Salaire minimal, hébergement insalubre et nourriture douteuse...
Un salaire misérable, de la nourriture immangeable, des logements ouverts aux quatre vents, des infiltrations dans les plafonds, les affaires qui disparaissent pendant qu'ils travaillent, ce sont les conditions dans lesquelles étaient hébergés les ouvriers bangladais embauchés par une entreprise de textile oeuvrant dans la mode, nous apprend lexpress.mu.
Depuis la révélation de cette affaire qui a ému l'opinion mauricienne, la direction de la société est injoignable.
Pourtant depuis le 3 janvier 2019, date du premier article, personne ne peut ignorer les conditions indignes dans lesquelles vivaient ces ouvriers. Les journalistes de l'Express ont tenté de joindre la direction, en vain, le réceptionniste se bornant à signaler que les dirigeants seraient de retour la semaine prochaine.
La difficulté, désormais pour les autorités mauricienne, est de reloger les ouvriers Bangladais. Ils étaient installés dans les anciennes maisons des ouvriers de l'usine de cannes. Un camp situé à l'Est et désormais désaffecté.
Depuis la révélation de cette affaire qui a ému l'opinion mauricienne, la direction de la société est injoignable.
La direction de l'usine est en vacances
Pourtant depuis le 3 janvier 2019, date du premier article, personne ne peut ignorer les conditions indignes dans lesquelles vivaient ces ouvriers. Les journalistes de l'Express ont tenté de joindre la direction, en vain, le réceptionniste se bornant à signaler que les dirigeants seraient de retour la semaine prochaine.
La difficulté, désormais pour les autorités mauricienne, est de reloger les ouvriers Bangladais. Ils étaient installés dans les anciennes maisons des ouvriers de l'usine de cannes. Un camp situé à l'Est et désormais désaffecté.