Un moral en berne, des performances économiques en baisse, les petites entreprises de centre-ville ont du mal à reprendre leur souffle depuis un an. La crise des gilets jaunes a laissé des traces selon une étude de la Chambre de Commerce et d’Industrie de la Réunion.
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Comment se portent les centre-villes et les commerces qui y travaillent. La chambre consulaire a sondé entre les mois de juillet et d'août 2019, 650 TPE de moins de 10 salariés dans 11 communes du département. Comprendre leurs caractéristiques économiques, mesurer le moral des patrons, l’idée étant de conduire un baromètre trimestriel auprès d’un panel d’entreprises.
1er constat, le moral n’est pas au beau fixe. 65% des entreprises ont vu leur chiffre d’affaire chuter de 17% au 1er trimestre et de 22% au second. L’étude révèle une baisse générale de la fréquentation, du pouvoir d’achat, des difficultés pour stationner ou circuler pour les consommateurs.
Pour les chefs d’entreprise, la crise des gilets jaunes a profondément affecté leur activité notamment au cours du 1er trimestre.
Malgré cette situation de morosité " 52% des patrons croient la pérennisation de leur outil de travail et ont l’intention d’investir dans l’année à venir ". 65% d'entre-eux attendent l'aide des collectivités locales pour se lancer dans des projets mais " ne croient pas par exemple en la capacité des communes à s'impliquer et investir dans les centre-villes " .
1er constat, le moral n’est pas au beau fixe. 65% des entreprises ont vu leur chiffre d’affaire chuter de 17% au 1er trimestre et de 22% au second. L’étude révèle une baisse générale de la fréquentation, du pouvoir d’achat, des difficultés pour stationner ou circuler pour les consommateurs.
Pour les chefs d’entreprise, la crise des gilets jaunes a profondément affecté leur activité notamment au cours du 1er trimestre.
Malgré cette situation de morosité " 52% des patrons croient la pérennisation de leur outil de travail et ont l’intention d’investir dans l’année à venir ". 65% d'entre-eux attendent l'aide des collectivités locales pour se lancer dans des projets mais " ne croient pas par exemple en la capacité des communes à s'impliquer et investir dans les centre-villes " .