Un dionysien de 49 ans circulait avec une fausse plaque d’immatriculation. Il n’a jamais reçu les 33 PV pour excès de vitesse. Après plusieurs mois d’enquête il a été identifié. Sa moto immobilisée.
Depuis 8 mois, les forces de l’ordre recherchaient l’auteur de 33 infractions à la vitesse sur les routes réunionnaises. Il a finalement été identifié le 1er février dernier lors d’un contrôle de police.
Il s’agit d’un motard de 49 ans qui circulait au guidon d’une BMW HP4.
L’homme s’est déclaré surpris, car il n’avait jamais reçu les PV… tout simplement parce que sa plaque d’immatriculation était fausse. Les PV arrivaient chez un automobiliste, qui a porté plainte.
Une lettre différente
Le Centre automatisé de traitement des infractions, situé à Rennes, a fait des recherches en recoupant les immatriculations approchantes dans le fichier des cartes grises et a trouvé que la moto qui apparaissait sur les clichés des radars automatiques appartenait à un dionysien.
Le dossier a été transmis à l’EDSR de La Réunion.
Arrêté par les militaires de la BMO de St-Benoît, le motard a reconnu être l’auteur des infractions. Il ignorait l’erreur sur sa plaque d’immatriculation. qui ne correspondait pas à la carte grise.
Une erreur qui existait depuis l’achat de la moto et la fabrication de la plaque.
Que risque-t'il ?
Le motard est convoqué devant le tribunal correctionnel le 16 juin prochain. Il aura peut être la possibilité de récupérer sa moto. Il encourt la suspension, voire l’annulation de son permis de conduire.
Il s’agit d’un motard de 49 ans qui circulait au guidon d’une BMW HP4.
L’homme s’est déclaré surpris, car il n’avait jamais reçu les PV… tout simplement parce que sa plaque d’immatriculation était fausse. Les PV arrivaient chez un automobiliste, qui a porté plainte.
Une lettre différente
Le Centre automatisé de traitement des infractions, situé à Rennes, a fait des recherches en recoupant les immatriculations approchantes dans le fichier des cartes grises et a trouvé que la moto qui apparaissait sur les clichés des radars automatiques appartenait à un dionysien.
Le dossier a été transmis à l’EDSR de La Réunion.
Arrêté par les militaires de la BMO de St-Benoît, le motard a reconnu être l’auteur des infractions. Il ignorait l’erreur sur sa plaque d’immatriculation. qui ne correspondait pas à la carte grise.
Une erreur qui existait depuis l’achat de la moto et la fabrication de la plaque.
Que risque-t'il ?
Le motard est convoqué devant le tribunal correctionnel le 16 juin prochain. Il aura peut être la possibilité de récupérer sa moto. Il encourt la suspension, voire l’annulation de son permis de conduire.