Le monde de la moto péi est en deuil. Bernard Gallé, l'un des plus fervents défenseurs des deux-roues et des motards est brutalement décédé ce dimanche soir à Saint-Denis. Il avait 50 ans.
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Bernard Gallé était un vrai passionné de motos. En plus de ses activités de commerçant à la Bretagne, c'est lui qui organisait chaque année en août les 24 heures d'endurance "Meryno Smith" à Saint-Denis.
Les motards Réunionnais n'ont pas oublié non plus son combat contre les collectivités pour obtenir une piste d'entraînement pour les sportifs et développer l'aire de la Jamaïque. Il s'était battu aussi pour créer une école de pilotage de moto dans le chef-lieu, un projet qu'il n'aura malheureusement pas eu le temps de concrétiser.
Avec sa casquette de président du Groupement sportif et mécanique de la Jamaïque, il avait relancé les plus grandes compétitions de moto de l'année et était considéré comme l'un des plus fervents défenseurs des deux-roues, du simple cyclo ou monobike à la grosse cylindrée.
Bernard Gallé présidait également le Racer Moto Club de Saint-Denis. Sa disparition intervient 2 mois après celle du jeune Quentin Grondin, un décès qui avait également ému les fans de moto. Le pilote avait lourdement chuté lors d'un banal entraînement sur la piste de motocross Pascal Ravenne à la Ravine-à-Malheur, dans les hauts de La Possession.
Bernard Gallé suivait avec attention le parcours de Quentin Grondin, comme il avait réussi à dénicher des talents péi. Il avait notamment formé des champions comme Olivier Bègue, Dylan Técher, Laurent Hoarau, Luciano Ethève et Méryno Smith.
Depuis 5 ans, il accompagnait des équipes locales aux "23h60 du Mans", une des courses les plus relevées du calendrier sportif et des petites cylindrées. Il avait aussi contribué au développement de la moto à l'Île Maurice où il formait des préparateurs.
Bernard Gallé laisse derrière lui son épouse Gaëlle et ses deux enfants Alicia et Yann eux aussi passionnés de deux-roues et de sports mécaniques.
(Re)voir le reportage de Johnny Lerivain et Thierry Chenayer:
Les motards Réunionnais n'ont pas oublié non plus son combat contre les collectivités pour obtenir une piste d'entraînement pour les sportifs et développer l'aire de la Jamaïque. Il s'était battu aussi pour créer une école de pilotage de moto dans le chef-lieu, un projet qu'il n'aura malheureusement pas eu le temps de concrétiser.
Gallé, le défenseur de la piste de la Jamaïque
Avec sa casquette de président du Groupement sportif et mécanique de la Jamaïque, il avait relancé les plus grandes compétitions de moto de l'année et était considéré comme l'un des plus fervents défenseurs des deux-roues, du simple cyclo ou monobike à la grosse cylindrée.
Bernard Gallé présidait également le Racer Moto Club de Saint-Denis. Sa disparition intervient 2 mois après celle du jeune Quentin Grondin, un décès qui avait également ému les fans de moto. Le pilote avait lourdement chuté lors d'un banal entraînement sur la piste de motocross Pascal Ravenne à la Ravine-à-Malheur, dans les hauts de La Possession.
Bernard Gallé suivait avec attention le parcours de Quentin Grondin, comme il avait réussi à dénicher des talents péi. Il avait notamment formé des champions comme Olivier Bègue, Dylan Técher, Laurent Hoarau, Luciano Ethève et Méryno Smith.
Depuis 5 ans, il accompagnait des équipes locales aux "23h60 du Mans", une des courses les plus relevées du calendrier sportif et des petites cylindrées. Il avait aussi contribué au développement de la moto à l'Île Maurice où il formait des préparateurs.
Bernard Gallé laisse derrière lui son épouse Gaëlle et ses deux enfants Alicia et Yann eux aussi passionnés de deux-roues et de sports mécaniques.
(Re)voir le reportage de Johnny Lerivain et Thierry Chenayer: