La Préfecture de La Réunion annonce, jeudi 6 août, la mise en place d’une cellule de crise pour déterminer le soutien à apporter à Maurice pour faire face au naufrage du Wakashio. A ce stade, il n’y a pas de risque de pollution aux hydrocarbures pour les côtes réunionnaises.
Les autorités françaises viennent en aide à l’île Maurice. Ce jeudi 6 août, dans un communiqué, la préfecture de La Réunion annonce la mise en place d’une cellule de crise pour aider les autorités mauriciennes à faire face au naufrage du Wakashio.
Jacques Billant, préfet de la zone Sud-Océan Indien a décidé d'activer cette cellule de crise qui réunit le bureau de l'action de l'état en mer de la zone maritime sud de l'océan indien, la direction de la mer de l’Océan Indien, le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage, les forces armées de la zone sud de l'océan Indien, la cellule diplomatique et l’état-major de zone de défense.
La préfecture de La Réunion affirme que "cette cellule de crise est en lien permanent avec les autorités mauriciennes, notamment via notre ambassade de France à Maurice, afin d’analyser le soutien qui pourrait être apporté par les autorités françaises à l’île sœur dans la lutte contre cette pollution".
3 800 tonnes de fuel à bord
Ce jeudi, les autorités mauriciennes ont confirmé qu’une fissure sur la coque du bateau laisse échapper du fuel. Le MV Wakashio s’est échoué le 25 juillet dernier, sur le récif de Pointe d’Esny. Le vraquier transporte 200 tonnes de diesel et 3 800 tonnes de fuel.
Une cellule de crise
Jacques Billant, préfet de la zone Sud-Océan Indien a décidé d'activer cette cellule de crise qui réunit le bureau de l'action de l'état en mer de la zone maritime sud de l'océan indien, la direction de la mer de l’Océan Indien, le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage, les forces armées de la zone sud de l'océan Indien, la cellule diplomatique et l’état-major de zone de défense.La préfecture de La Réunion affirme que "cette cellule de crise est en lien permanent avec les autorités mauriciennes, notamment via notre ambassade de France à Maurice, afin d’analyser le soutien qui pourrait être apporté par les autorités françaises à l’île sœur dans la lutte contre cette pollution".