L’ATR-Fnaut dénonce la mésaventure d’une famille réunionnaise qui devait prendre l’avion à Paris pour revenir vivre dans l’île. Arrivée avec 5 minutes de retard, pour cause d’embouteillage, la mère et ses deux enfants n’ont pu embarquer.
L’association Alternative Transport Réunion interpelle une compagnie aérienne à « bas coût » qui a refusé d’embarquer une mère et ses deux enfants pour 5 minutes de retard.
Dans un courrier, l’ATR demande à l’avionneur de prendre en compte les problèmes incroyables qu’a engendrés cette décision. Certes, l’enregistrement des bagages était bouclé depuis 5 minutes, certes la famille était du retard à cause des bouchons, mais l’avion n’avait pas décollé. Sans compter, que la mère de famille a tenté vainement d’expliquer à ses interlocuteurs qu’elle prenait l’avion pour quitter la métropole définitivement. Un billet allé, sans retour.
Inscription au collège ?
Malgré, les explications et les suppliques, des victimes de cette décision, la famille a dû renoncer et faire demi-tour. Direction la Bretagne où ils n’ont plus rien. Ils viennent de vendre leur maison et déménagent à La Réunion.
Dépourvus de logement, de téléphone, ils attendent chez des amis en Bretagne que la compagnie aérienne fasse un geste pour les sortir de cette situation invivable.
L’ainé des enfants, qui sont âgés de 11 et 2 ans, devait être inscrit au collège en milieu de semaine. Il y a urgence !
Dans un courrier, l’ATR demande à l’avionneur de prendre en compte les problèmes incroyables qu’a engendrés cette décision. Certes, l’enregistrement des bagages était bouclé depuis 5 minutes, certes la famille était du retard à cause des bouchons, mais l’avion n’avait pas décollé. Sans compter, que la mère de famille a tenté vainement d’expliquer à ses interlocuteurs qu’elle prenait l’avion pour quitter la métropole définitivement. Un billet allé, sans retour.
Inscription au collège ?
Malgré, les explications et les suppliques, des victimes de cette décision, la famille a dû renoncer et faire demi-tour. Direction la Bretagne où ils n’ont plus rien. Ils viennent de vendre leur maison et déménagent à La Réunion.
Dépourvus de logement, de téléphone, ils attendent chez des amis en Bretagne que la compagnie aérienne fasse un geste pour les sortir de cette situation invivable.
L’ainé des enfants, qui sont âgés de 11 et 2 ans, devait être inscrit au collège en milieu de semaine. Il y a urgence !