A chaque fin d’année, les pêcheurs attendent patiemment " l’or des rivières" monter. Les bichiques, plat apprécié des réunionnais au moment des fêtes sont malheureusement aujourd'hui, une espèce menacée. Les contrôles seront renforcés aussi bien au niveau de la pêche que de la vente
Il reste pour les réunionnais un met de choix, n’en déplaise à quelques palais métropolitains !
Le cari bichique est au moment des fêtes, un invité exceptionnel que l’on accueille avec beaucoup de plaisir et de gourmandise à table.
L’alevin acheté au bord des routes et cher au kilo, se fait toutefois de plus en plus rare dans les cours d’eau. Victime de braconnage intensif, la ressource qui se prélève notamment entre octobre et décembre, puis en janvier s'épuise au fil du temps.
Elle rappelle qu’il faut une autorisation préfectorale pour prélever à la vouve aux embouchures des rivières et un permis pour vendre le produit de la pêche. En cas d’infraction, le contrevenant s’expose à des peines pouvant aller jusqu’à deux ans de prison et 22 500 euros d’amende.
Plus d'infos sur le site de la DEAL
Le cari bichique est au moment des fêtes, un invité exceptionnel que l’on accueille avec beaucoup de plaisir et de gourmandise à table.
L’alevin acheté au bord des routes et cher au kilo, se fait toutefois de plus en plus rare dans les cours d’eau. Victime de braconnage intensif, la ressource qui se prélève notamment entre octobre et décembre, puis en janvier s'épuise au fil du temps.
Face au déclin de ces espèces et dans l’objectif d’une exploitation durable de ses stocks, les contrôles seront renforcés, sur la pêche et sur la vente des bichiques précise la DEAL dans un communiqué.
Elle rappelle qu’il faut une autorisation préfectorale pour prélever à la vouve aux embouchures des rivières et un permis pour vendre le produit de la pêche. En cas d’infraction, le contrevenant s’expose à des peines pouvant aller jusqu’à deux ans de prison et 22 500 euros d’amende.
Plus d'infos sur le site de la DEAL