Le prix de la pomme d’amour, le nom de la tomate à Maurice, s’envole. Le kilo se vend entre 40 et 70 roupies soit de 1,06 Euro à 1,86 Euro. Cette brusque augmentation était due à la pluie et au virus de la mosaïque. Une crise qui devrait s’accentuer avec le passage de Bansi.
Les Mauriciens de confessions Tamouls doivent se nourrir exclusivement de légumes et de fruits pendant le jeun. Les tomates fraîches agrémentent leurs repas d’une douce saveur sucrée. Un fruit, sur l’île sœur comme à La Réunion, qui entre dans la composition de nombreuses recettes et qu’il est difficile voire impossible à remplacer.
Quand le prix du kilo sur les marchés flambe, les ménagères se rabattent sur les conserves. Des boîtes qui reste abordables en toute saison, mais qui attristent les gourmets. Un plat avec des tomates en boîte n’a pas la même saveur…
Les tomates de Maurice victimes de la mosaïque, de Bansi et de la pluie
A La Réunion, comme sur l’île sœur la pluie et le vent sont l’ennemi des cultures. Avec le passage du cyclone très intense Bansi, les maraîchers Mauriciens vont avoir du mal à réapprovisionner leurs étals.
Avant l’alerte cyclonique, les producteurs de tomates de l’île Maurice devait se battre contre le « Tomato Mosaïque ». Ce virus affecte les « pommes d’amour » et réduit la production de fruits de 50%. Cette maladie était apparue à La Réunion obligeant les producteurs de tomates à stopper leurs cultures pendant quatre années rappel Le Matinal. Aujourd’hui, ce virus tente de s’implanter sur l’île sœur. Le passage de Bansi risque d’avoir raison de leurs plantations, mais pourrait également leur fournir l’occasion de se reconstruire sans le virus.
Quand le prix du kilo sur les marchés flambe, les ménagères se rabattent sur les conserves. Des boîtes qui reste abordables en toute saison, mais qui attristent les gourmets. Un plat avec des tomates en boîte n’a pas la même saveur…
Les tomates de Maurice victimes de la mosaïque, de Bansi et de la pluie
A La Réunion, comme sur l’île sœur la pluie et le vent sont l’ennemi des cultures. Avec le passage du cyclone très intense Bansi, les maraîchers Mauriciens vont avoir du mal à réapprovisionner leurs étals.
Avant l’alerte cyclonique, les producteurs de tomates de l’île Maurice devait se battre contre le « Tomato Mosaïque ». Ce virus affecte les « pommes d’amour » et réduit la production de fruits de 50%. Cette maladie était apparue à La Réunion obligeant les producteurs de tomates à stopper leurs cultures pendant quatre années rappel Le Matinal. Aujourd’hui, ce virus tente de s’implanter sur l’île sœur. Le passage de Bansi risque d’avoir raison de leurs plantations, mais pourrait également leur fournir l’occasion de se reconstruire sans le virus.