Lancée 3 semaines après celle du Nord et de l’Est, la campagne sucrière débute demain, lundi dans le Sud. A la veille de ce lancement, la CGPER a tenue à faire un point ce dimanche matin.
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Ils étaient une quarantaine de planteurs membres de la CGPER rassemblés devant l’usine du Gol à Saint-Louis, ce dimanche matin. Eux n’ont pas encore commencé la campagne mais tenaient tout de même à faire un point.
D’abord positifs, ils sont revenus sur leur dernière rencontre avec les industriels, à l’occasion de la réunion de la commission paritaire de la canne et du sucre de la semaine dernière. Une rencontre durant laquelle des pistes favorables "ont commencé à être trouvées" concernant la question de la richesse basse pour les coupeuses péi. Plusieurs réunions de travail sont prévues, la prochaine doit avoir lieu le 2 août.
Mais Krishna Atanary, 2ème vice-président de la CGPER, est également revenu sur la visite du ministre de l’agriculture et de l’alimentation, le 11 juillet dernier. S’il salue la venue de Stéphane Travert, geste symbolique pour le monde agricole local, il rappelle tout de même que, malgré une annonce, l’Etat n’a pas encore versé certaines aides d’urgence aux agriculteurs.
Des annonces qui semblent d’ailleurs avoir manqué. Désormais confrontés à la fin des quotas sucriers, à l’ouverture du marché européen ou encore à la renégociation de la Politique Agricole Commune de l’Union Européenne, les planteurs réunionnais n’ont pas vraiment été rassurés.
D’abord positifs, ils sont revenus sur leur dernière rencontre avec les industriels, à l’occasion de la réunion de la commission paritaire de la canne et du sucre de la semaine dernière. Une rencontre durant laquelle des pistes favorables "ont commencé à être trouvées" concernant la question de la richesse basse pour les coupeuses péi. Plusieurs réunions de travail sont prévues, la prochaine doit avoir lieu le 2 août.
Mais Krishna Atanary, 2ème vice-président de la CGPER, est également revenu sur la visite du ministre de l’agriculture et de l’alimentation, le 11 juillet dernier. S’il salue la venue de Stéphane Travert, geste symbolique pour le monde agricole local, il rappelle tout de même que, malgré une annonce, l’Etat n’a pas encore versé certaines aides d’urgence aux agriculteurs.
Des annonces qui semblent d’ailleurs avoir manqué. Désormais confrontés à la fin des quotas sucriers, à l’ouverture du marché européen ou encore à la renégociation de la Politique Agricole Commune de l’Union Européenne, les planteurs réunionnais n’ont pas vraiment été rassurés.