Et si l’Océan Indien possédait sa propre plateforme de diffusion de vidéos à la demande ? C’est en tout cas le projet de 3 femmes de La Réunion, qui viennent de lancer une campagne de crowdfunding. Un projet que chacun peut donc soutenir.
La démarche est de plus en plus fréquente : faire appel au financement participatif pour donner vie à un projet. C’est en tout cas ce qu’ont entrepris trois jeunes femmes de La Réunion pour mener à bien leur initiative.
Depuis plus d’un an, Audrey Bacal, Julie Fioretti et Marie Trouvé travaillent en effet à développer une plateforme de diffusion de vidéos à la demande. Le principe est simple : offrir à tous un accès à des films qui jusque-là ne trouvent vie qu’à l’occasion d’une simple diffusion à la télévision ou au cinéma.
Combler un manque de visibilité
Chaque année, des centaines d’œuvres sont réalisées dans les différents territoires de la zone Océan Indien, pourtant les espaces de diffusions manquent cruellement. Partant de ce constat, et du "gâchis" que cela pourrait représenter compte-tenu du travail investi pour les fabriquer, les trois femmes ont décidé d’en faciliter l’accès.
Une plateforme de diffusion devrait donc voir le jour à la mi-août pour permettre à tous d’accéder via sa télévision, sa tablette ou son smartphone à des courts ou longs métrages, de fiction ou documentaires à tout moment, en les louant, les achetant ou en s’abonnant. Un moyen de leur offrir un accès plus facile et donc une vie plus longue.
Une sélection originale
30 à 40 œuvres seront ainsi disponibles en permanence et régulièrement renouvelées. 60% d’entre elles devraient venir de la zone Océan Indien, entendez La Réunion, Maurice, Madagascar, mais aussi le Mozambique, l’Afrique du Sud ou encore l’Inde, 40% proviendront du reste du monde et notamment des territoires d’Outre-mer.
Issues de la production audiovisuelle et du journalisme, les 3 fondatrices de Kwa Films, c’est le nom de la future plateforme VOD, ont à cœur de mettre en avant des contenus originaux, des regards croisés, à travers des histoires d’ici et d’ailleurs, souvent en marge des circuits de distribution de masse classiques.
Du financement participatif pour boucler le budget
Après avoir approché les producteurs et réalisateurs de la zone, favorables à cette démarche, et identifié de très nombreuses œuvres, elles ont donc décidé de se lancer. Et pour que leur plateforme de diffusion à la demande voie enfin le jour, une campagne de crowdfunding est en ligne sur le site d’Ulule, jusqu’au 18 juin.
Elle doit permettre de compléter le budget pour en achever le développement. Le lancement de la plateforme est prévu dans le courant du mois d’août.
Depuis plus d’un an, Audrey Bacal, Julie Fioretti et Marie Trouvé travaillent en effet à développer une plateforme de diffusion de vidéos à la demande. Le principe est simple : offrir à tous un accès à des films qui jusque-là ne trouvent vie qu’à l’occasion d’une simple diffusion à la télévision ou au cinéma.
Combler un manque de visibilité
Chaque année, des centaines d’œuvres sont réalisées dans les différents territoires de la zone Océan Indien, pourtant les espaces de diffusions manquent cruellement. Partant de ce constat, et du "gâchis" que cela pourrait représenter compte-tenu du travail investi pour les fabriquer, les trois femmes ont décidé d’en faciliter l’accès.
Une plateforme de diffusion devrait donc voir le jour à la mi-août pour permettre à tous d’accéder via sa télévision, sa tablette ou son smartphone à des courts ou longs métrages, de fiction ou documentaires à tout moment, en les louant, les achetant ou en s’abonnant. Un moyen de leur offrir un accès plus facile et donc une vie plus longue.
Une sélection originale
30 à 40 œuvres seront ainsi disponibles en permanence et régulièrement renouvelées. 60% d’entre elles devraient venir de la zone Océan Indien, entendez La Réunion, Maurice, Madagascar, mais aussi le Mozambique, l’Afrique du Sud ou encore l’Inde, 40% proviendront du reste du monde et notamment des territoires d’Outre-mer.
Issues de la production audiovisuelle et du journalisme, les 3 fondatrices de Kwa Films, c’est le nom de la future plateforme VOD, ont à cœur de mettre en avant des contenus originaux, des regards croisés, à travers des histoires d’ici et d’ailleurs, souvent en marge des circuits de distribution de masse classiques.
Du financement participatif pour boucler le budget
Après avoir approché les producteurs et réalisateurs de la zone, favorables à cette démarche, et identifié de très nombreuses œuvres, elles ont donc décidé de se lancer. Et pour que leur plateforme de diffusion à la demande voie enfin le jour, une campagne de crowdfunding est en ligne sur le site d’Ulule, jusqu’au 18 juin.
Elle doit permettre de compléter le budget pour en achever le développement. Le lancement de la plateforme est prévu dans le courant du mois d’août.