Une bagarre a éclaté entre deux détenus ce mardi matin. L’agresseur a été placé en prévention en quartier disciplinaire. Ces derniers jours, les agressions s’y font plus nombreuses, notamment à cause de la circulation de la "chimique".
C’est une agression qui peut paraître banale, et pourtant elle révèle un climat de tension latent. Ce mardi matin, une bagarre a éclaté entre deux détenus de la prison du Port. Au final, elle semble sans gravité, l’agresseur à été placé en quartier disciplinaire.
Le problème, c’est que ce genre de situations violentes se multiplient depuis quelques temps. La semaine dernière, les surveillants pénitentiaires ont dû faire face à près d’une agression par jour. Le racket est souvent une cause de conflit entre détenus, mais depuis peu un autre facteur vient perturber le fonctionnement de l’établissement.
Selon une source interne, la "chimique" a fait son apparition en détention. Sous forme de colle à mélanger au tabac normal, la substance est difficilement détectable et semble passer les contrôles lors des parloirs. Les surveillants doivent alors faire face à des détenus sous emprise. Etats comateux ou poussées d’agressivité, ils doivent souvent jouer le rôle de « fusibles » pour éviter que les choses ne dérapent.
Face à cette situation, la direction du centre pénitentiaire du Port a décidé de réagir. Ce mardi matin, une réunion a été organisée avec les détenus pour les sensibiliser aux dangers de la substance, tant sur leur santé que sur leur détention.
En effet, pris en possession de "chimique", ils pourraient alors voir leur peine de prison prolongée ou leur remise de peine suspendue. Sensibilisation et fouilles sont donc pour le moment les méthodes choisies pour endiguer le phénomène.
Le problème, c’est que ce genre de situations violentes se multiplient depuis quelques temps. La semaine dernière, les surveillants pénitentiaires ont dû faire face à près d’une agression par jour. Le racket est souvent une cause de conflit entre détenus, mais depuis peu un autre facteur vient perturber le fonctionnement de l’établissement.
Selon une source interne, la "chimique" a fait son apparition en détention. Sous forme de colle à mélanger au tabac normal, la substance est difficilement détectable et semble passer les contrôles lors des parloirs. Les surveillants doivent alors faire face à des détenus sous emprise. Etats comateux ou poussées d’agressivité, ils doivent souvent jouer le rôle de « fusibles » pour éviter que les choses ne dérapent.
Face à cette situation, la direction du centre pénitentiaire du Port a décidé de réagir. Ce mardi matin, une réunion a été organisée avec les détenus pour les sensibiliser aux dangers de la substance, tant sur leur santé que sur leur détention.
En effet, pris en possession de "chimique", ils pourraient alors voir leur peine de prison prolongée ou leur remise de peine suspendue. Sensibilisation et fouilles sont donc pour le moment les méthodes choisies pour endiguer le phénomène.