Amaury de Saint-Quentin a signé l’arrêté qualifiant le projet, d’ouverture et d’exploitation de la carrière sur la commune de Saint-Leu, d’intérêt général. Le chantier de la Nouvelle Route du littoral attend les roches massives pour la protection des digues.
Le 21 mars dernier, le préfet avait promis qu’aucun arrêté ne serait pris pendant la campagne électorale pour les législatives. Il répondait ainsi au mécontentement du député maire de Saint-Leu, Thierry Robert.
Mécontentement provoqué par l’avis favorable de la commission départementale de la nature des paysages et des sites (CDNPS) à l’ouverture de la carrière de Bois Blanc.
Promesse tenue puisque l’arrêté signé le 31 juillet, parait près 1 mois et demi après le second tour des élections législatives
Ce projet jugé indispensable par La Région a rencontré dès le début l’opposition du député maire de Saint-Leu.
Des manifestations ont été organisées. Un collectif « touch pa nout Roche » a été créé. Un référendum à Saint-Leu a été organisé.
La société devant gérer la carrière, la SCPR, a dû modifier son projet pour une meilleure prise en compte de la protection de l’environnement. Une seconde enquête publique avait donné un premier feu vert.
L’arrêté sera notifié à la Mairie de Saint-Leu, qui devra modifier le document d’urbanisme pour le rendre compatible avec l’exploitation de la carrière.
Si la municipalité refuse ou ne répond pasfin août, la mise en compatibilité sera engagée par le préfet.
La contestation de cet arrêté est possible auprès du tribunal administratif de Saint-Denis jusqu’à fin septembre.
Voici l'arrêté signé par le préfet de La Réunion le 31 juillet.
En images avec Hakime Ali Saïd
Mécontentement provoqué par l’avis favorable de la commission départementale de la nature des paysages et des sites (CDNPS) à l’ouverture de la carrière de Bois Blanc.
Promesse tenue puisque l’arrêté signé le 31 juillet, parait près 1 mois et demi après le second tour des élections législatives
Ce projet jugé indispensable par La Région a rencontré dès le début l’opposition du député maire de Saint-Leu.
Des manifestations ont été organisées. Un collectif « touch pa nout Roche » a été créé. Un référendum à Saint-Leu a été organisé.
La société devant gérer la carrière, la SCPR, a dû modifier son projet pour une meilleure prise en compte de la protection de l’environnement. Une seconde enquête publique avait donné un premier feu vert.
L’arrêté sera notifié à la Mairie de Saint-Leu, qui devra modifier le document d’urbanisme pour le rendre compatible avec l’exploitation de la carrière.
Si la municipalité refuse ou ne répond pasfin août, la mise en compatibilité sera engagée par le préfet.
La contestation de cet arrêté est possible auprès du tribunal administratif de Saint-Denis jusqu’à fin septembre.
Voici l'arrêté signé par le préfet de La Réunion le 31 juillet.
2017-1640 Bois Blanc by Réunion 1ère Web on Scribd
En direct au JT de 12h30 le député maire Thierry Robert a déclaré vouloir continuer le combat et utiliser toutes les voies de recours contre l'ouverture de la carrière de Bois Blanc.
En images avec Hakime Ali Saïd