Communiqué :
Près de 150 participants des îles de l’océan Indien, de l’Afrique orientale et australe et d’autres régions du monde se sont déplacés pour le « SmartFish Trade & Development Forum » qui a débuté ce jeudi à Maurice. C’est la première fois que le programme SmartFish de la Commission de l’océan Indien (COI), financé par l’Union européenne, organise en Indianocéanie cet événement sur le commerce des produits de la pêche artisanale et le développement des filières après trois éditions sur le continent.
« La pêche a toujours été un des domaines phares de l’action de la COI car il s’agit d’un des secteurs moteurs de l’économie régionale qui participe, de plus, à l’emploi et à la sécurité alimentaire des populations », a souligné Hamada Madi, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien, dans son discours d’ouverture.
Marjaana Sall, Ambassadeur de l'Union européenne auprès de la République de Maurice et de la République des Seychelles, a déclaré : « Pour l'Union européenne, la gestion durable des océans et des ressources marines constitue une priorité. L'Union européenne s'est engagée à continuer à développer son partenariat avec tous les pays de la région pour atteindre un objectif commun, celui de la pêche durable ».
Des experts mondiaux se sont déplacés, à cette occasion, pour accompagner les entrepreneurs de la pêche artisanale du Sud-Ouest de l’océan Indien, venant notamment de l’Organisation mondiale du commerce, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ou encore de la Norvège, pays mondialement reconnu pour sa petite pêche durable et efficiente.
Pendant trois jours, les participants pourront profiter des rencontres d’affaires (B2B) qui se tiendront en parallèle des sessions plénières. Trouvant dans ce forum une opportunité de nouer ou renforcer des partenariats, les exposants issus des îles et pays riverains du Sud-Ouest de l’océan Indien bénéficiaires du programme SmartFish vont présenter leurs produits tout au long de l’événement qui se tient au Domaine Izi à Bambou (Maurice).
« Les ressources halieutiques et leurs écosystèmes sont gravement menacés par la surexploitation, des pratiques de pêche non viables et le changement climatique », a déclaré Sunil Sweenarain, coordinateur du programme SmartFish. De fait, « il y a un important manque à gagner à tous les niveaux, notamment en ce qui concerne les pertes post captures, évaluées à près de 500 million de dollars pour le continent africain » souligne-t-il.
Près de 150 participants des îles de l’océan Indien, de l’Afrique orientale et australe et d’autres régions du monde se sont déplacés pour le « SmartFish Trade & Development Forum » qui a débuté ce jeudi à Maurice. C’est la première fois que le programme SmartFish de la Commission de l’océan Indien (COI), financé par l’Union européenne, organise en Indianocéanie cet événement sur le commerce des produits de la pêche artisanale et le développement des filières après trois éditions sur le continent.
« La pêche a toujours été un des domaines phares de l’action de la COI car il s’agit d’un des secteurs moteurs de l’économie régionale qui participe, de plus, à l’emploi et à la sécurité alimentaire des populations », a souligné Hamada Madi, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien, dans son discours d’ouverture.
Marjaana Sall, Ambassadeur de l'Union européenne auprès de la République de Maurice et de la République des Seychelles, a déclaré : « Pour l'Union européenne, la gestion durable des océans et des ressources marines constitue une priorité. L'Union européenne s'est engagée à continuer à développer son partenariat avec tous les pays de la région pour atteindre un objectif commun, celui de la pêche durable ».
Des experts mondiaux se sont déplacés, à cette occasion, pour accompagner les entrepreneurs de la pêche artisanale du Sud-Ouest de l’océan Indien, venant notamment de l’Organisation mondiale du commerce, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ou encore de la Norvège, pays mondialement reconnu pour sa petite pêche durable et efficiente.
Pendant trois jours, les participants pourront profiter des rencontres d’affaires (B2B) qui se tiendront en parallèle des sessions plénières. Trouvant dans ce forum une opportunité de nouer ou renforcer des partenariats, les exposants issus des îles et pays riverains du Sud-Ouest de l’océan Indien bénéficiaires du programme SmartFish vont présenter leurs produits tout au long de l’événement qui se tient au Domaine Izi à Bambou (Maurice).
« Les ressources halieutiques et leurs écosystèmes sont gravement menacés par la surexploitation, des pratiques de pêche non viables et le changement climatique », a déclaré Sunil Sweenarain, coordinateur du programme SmartFish. De fait, « il y a un important manque à gagner à tous les niveaux, notamment en ce qui concerne les pertes post captures, évaluées à près de 500 million de dollars pour le continent africain » souligne-t-il.