La cour d’Assises examine, durant trois jours, une affaire des plus sordides. Rachid Sahari, accusé de viol avec torture et actes de barbarie sur sa compagne, revient pour la deuxième fois devant les jurés.
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Le 12 septembre 2017, à l’énoncé du verdict, Delphine Sibieta a fait face au regard perçant de Rachid Sahari.
Deux ans après, elle va affronter à nouveau le regard de son bourreau et revivre son calvaire enduré pendant plusieurs années. Un supplice dénoncé seulement en 2015.
La jeune femme de 31 ans a toujours vécu sous le joug de son compagnon et père de ses enfants. Des coups, infligés régulièrement, qui ont débuté depuis la métropole. Sahari frappait Delphine avec tout ce qui lui passait sous la main : poignard, radiateur électrique...
Le médecin légiste a relevé, à l’époque, de nombreuses cicatrices sur le corps de la victime provoquées par arme blanche. Mais l'homme de 45 ans a toujours nié les faits qu'on lui reproche.
En première instance en 2017, Rachid Sahari avait écopé d'une peine de 30 ans de prison. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Le verdict est attendu vendredi soir.
Deux ans après, elle va affronter à nouveau le regard de son bourreau et revivre son calvaire enduré pendant plusieurs années. Un supplice dénoncé seulement en 2015.
La jeune femme de 31 ans a toujours vécu sous le joug de son compagnon et père de ses enfants. Des coups, infligés régulièrement, qui ont débuté depuis la métropole. Sahari frappait Delphine avec tout ce qui lui passait sous la main : poignard, radiateur électrique...
Le médecin légiste a relevé, à l’époque, de nombreuses cicatrices sur le corps de la victime provoquées par arme blanche. Mais l'homme de 45 ans a toujours nié les faits qu'on lui reproche.
En première instance en 2017, Rachid Sahari avait écopé d'une peine de 30 ans de prison. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Le verdict est attendu vendredi soir.