Vendredi 18 août 2017, les élèves réunionnais doivent, normalement, reprendre le chemin des classes. Une rentrée suspendue à la décision des 24 maires. Selon les élus, la diminution brutale du nombre d’emplois aidés empêchera un accueil optimal des marmailles.
Les maires de La Réunion sont unanimes pour protester contre la réduction brutale du nombre des contrats aidés. Début août 2017, après une première rencontre avec le nouveau préfet, ils avaient obtenu une première rallonge des effectifs de 1 000 postes.
Insuffisant ! Avaient-ils immédiatement répondu en cœur.
La semaine dernière, les 24 maires ont officiellement manifesté devant la grille de la préfecture. En réponse, l’Etat par la voix de son représentant a consenti à débloquer une nouvelle enveloppe pour l’embauche de 1 800. 1 000 plus 1 800 soit, 2 800 contrats aidés et donc une réduction des effectifs de 498 personnes.
Le ministre de l’Éducation Nationale arrive
Les édiles ont donc pris bonne note de cette révision des effectifs, mais avant de se prononcer sur l’ouverture des écoles, ils ont voulu faire le tour des besoins de leurs communes respectives. La prise en charge d’enfants, par leurs communes, demande des moyens conséquents. La sécurité dans les bus, dans les cours de récréation ou à la cantine ne souffre pas l’approximation.
La décision des maires sera connue dans la journée.
Les mairies de Saint-Paul et Saint-Denis annoncent qu’elles sont prêtes à ouvrir. En est-il de même partout ?
Le ministre de l’Éducation Nationale devrait être dans le département, demain jeudi. Quel sera l’accueil ?
Emplois aidés, semaine des 4 jours, classes limitées à 12 élèves autant de points chauds pour cette nouvelle année scolaire.
Insuffisant ! Avaient-ils immédiatement répondu en cœur.
La semaine dernière, les 24 maires ont officiellement manifesté devant la grille de la préfecture. En réponse, l’Etat par la voix de son représentant a consenti à débloquer une nouvelle enveloppe pour l’embauche de 1 800. 1 000 plus 1 800 soit, 2 800 contrats aidés et donc une réduction des effectifs de 498 personnes.
Le ministre de l’Éducation Nationale arrive
Les édiles ont donc pris bonne note de cette révision des effectifs, mais avant de se prononcer sur l’ouverture des écoles, ils ont voulu faire le tour des besoins de leurs communes respectives. La prise en charge d’enfants, par leurs communes, demande des moyens conséquents. La sécurité dans les bus, dans les cours de récréation ou à la cantine ne souffre pas l’approximation.
La décision des maires sera connue dans la journée.
Les mairies de Saint-Paul et Saint-Denis annoncent qu’elles sont prêtes à ouvrir. En est-il de même partout ?
Le ministre de l’Éducation Nationale devrait être dans le département, demain jeudi. Quel sera l’accueil ?
Emplois aidés, semaine des 4 jours, classes limitées à 12 élèves autant de points chauds pour cette nouvelle année scolaire.