Le pronostic vital de Laurent Chardard n’est plus engagé. Le bodyboarder de 21 ans, victime d’une attaque de requin samedi à Boucan-Canot gravement blessé est sauvé. Le MNS, qui s’est cassé une jambe, en lui portant secours, a été opéré avec succès.
Les médecins de Bellepierre n’avaient pas le choix. Laurent Chardard a dû être amputé d’un bras et d’une partie de la jambe sectionnée par le requin. Une opération difficile, mais devenue inévitable pour sauver la vie de ce jeune homme de 21 ans.
Samedi, il est environ 17 heures. Alors que les flammes rouges, pour la baignade et alerte requin, sont hissées sur les mâts par les maîtres nageurs sauveteurs de Boucan-Canot depuis le début de la journée, des morayeurs sont dans l’eau. Les injonctions des MNS pour qu’ils renoncent à leur passion et les explications sur le trou béant dans le filet anti-requin n’ont aucun effet.
Un trou dans le filet
Malheureusement, les craintes des maîtres nageurs se révèlent justifiées. Quelques minutes après 17 heures, l’océan devient rouge.
Sans hésiter, l’un d’eux enfourche le scooter des mers et malgré la forte houle porte secours à Laurent Chardar. En venant an aide à Laurent Chardard, il se casse la jambe.
Ce lundi 29 Août 2016, le bilan est extrêmement lourd. Un étudiant va désormais vivre avec une jambe et un bras en moins. Le secouriste devra suivre de longs mois de rééducation avant de pouvoir reprendre son poste.
L’IRT (Ile de La Réunion Tourisme), la commune de Saint-Paul et les commerçants de Boucan-Canot redoutent les conséquences médiatiques de cette tragédie.
Un tigre de 3 mètres à 3 m 50 observé aux Aigrettes
Depuis un an La Réunion avait été épargnée par les attaques de requins. Les filets anti-squales installés aux Roches-Noires et à Boucan-Canot avaient permis de relancer l’activité surf et la vie des commerces de ces plages.
Le site Observation Requins 974 qui recense toutes les observations de requins le long des côtes réunionnaises depuis le début de la crise avait relevé qu’un énorme tigre d’environ 3 mètres à 3 mètres 50 avait été aperçu, jeudi 25 Août 2016 au large de la Pointe-des-Aigrettes. Les Aigrettes distante de quelques centaines de mètres de Boucan.
De plus, le filet anti-requins qui devait protéger, les activités nautiques, étaient défectueux. Les MNS avaient noté que la barrière de mailles était rompue. Un trou béant était apparu sous les coups de boutoir de la houle.
Samedi, il est environ 17 heures. Alors que les flammes rouges, pour la baignade et alerte requin, sont hissées sur les mâts par les maîtres nageurs sauveteurs de Boucan-Canot depuis le début de la journée, des morayeurs sont dans l’eau. Les injonctions des MNS pour qu’ils renoncent à leur passion et les explications sur le trou béant dans le filet anti-requin n’ont aucun effet.
Un trou dans le filet
Malheureusement, les craintes des maîtres nageurs se révèlent justifiées. Quelques minutes après 17 heures, l’océan devient rouge.
Sans hésiter, l’un d’eux enfourche le scooter des mers et malgré la forte houle porte secours à Laurent Chardar. En venant an aide à Laurent Chardard, il se casse la jambe.
Ce lundi 29 Août 2016, le bilan est extrêmement lourd. Un étudiant va désormais vivre avec une jambe et un bras en moins. Le secouriste devra suivre de longs mois de rééducation avant de pouvoir reprendre son poste.
L’IRT (Ile de La Réunion Tourisme), la commune de Saint-Paul et les commerçants de Boucan-Canot redoutent les conséquences médiatiques de cette tragédie.
Un tigre de 3 mètres à 3 m 50 observé aux Aigrettes
Depuis un an La Réunion avait été épargnée par les attaques de requins. Les filets anti-squales installés aux Roches-Noires et à Boucan-Canot avaient permis de relancer l’activité surf et la vie des commerces de ces plages.
Le site Observation Requins 974 qui recense toutes les observations de requins le long des côtes réunionnaises depuis le début de la crise avait relevé qu’un énorme tigre d’environ 3 mètres à 3 mètres 50 avait été aperçu, jeudi 25 Août 2016 au large de la Pointe-des-Aigrettes. Les Aigrettes distante de quelques centaines de mètres de Boucan.
De plus, le filet anti-requins qui devait protéger, les activités nautiques, étaient défectueux. Les MNS avaient noté que la barrière de mailles était rompue. Un trou béant était apparu sous les coups de boutoir de la houle.