L'association écologiste, Générations Futures qui lutte pour une agriculture bio vient de publier les résultats l'étude réalisée par la DGCCRF sur des fruits et légumes produits en France et donc à La Réunion. Mauvaise surprise, nos oranges, mangues et avocats ne sont pas toujours sains.
Pas de panique ! Nous pouvons consommer nos fruits et nos légumes, mais l'étude, par Générations Futures des publications par la DGCCRRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) sur les quantités de pesticides présents dans les fruits et légumes produits en France, confirme que nos productions locales n'échappent pas aux traitements de choc avec des produits chimiques.
L'ananas se porte bien
Nos productions locales de légumes étant vendues sur place, aucun chiffre n'est disponible concernant nos salades, choux ou haricots. En revanche, nos fruits sont bel et bien présents. À tout seigneur, tout honneur. L'ananas Victoria : La Réunion cultive 46% de la production française, soit 30 000 tonnes. Il se classe au 13ème rang de la liste des 19 fruits étudiés, pour sa teneur en pesticide, et au 18ème pour sa teneur en produit dangereux pour la santé.
La mangue réunionnaise sous surveillance
La Réunion est également en tête des départements producteurs de mangues avec 60% des 3 000 tonnes françaises. Si l'échantillonnage place nos mangues à la 14ème place des fruits chargés en produits chimiques, certaines sont très chargées avec un dépassement des limites maximales propulsant la mangue à la deuxième place de la teneur en produits dangereux.
Les oranges et les mandarines mauvaises élèves
Vous ne le saviez sûrement pas, tout comme nous, mais La Réunion produit 43% de la totalité des oranges françaises. Cette fois, c'est le mauvais élève de la classe. Elles sont 7ème sur 19 pour la quantité de résidus et 3ème pour le dépassement de la limite maximale de pesticides.
Ses cousines, mandarines et clémentines ne se portent pas beaucoup mieux. Même si la production réunionnaise est limitée avec 15%, les deux petits agrumes sont chargés. 2ème pour les échantillons contenant des résidus et 6ème pour le dépassement des limites considérées comme acceptables.
L'avocat se défend bien
Le citron réunionnais a également été testé. C'est moyen ! 10ème et 10ème pour les deux paramètres par rapport aux 19 fruits qui font l'objet d'une étude poussée.
La culture de la banane à La Réunion est franchement toute petite par rapport aux Antilles. À peine 3% de la production française, mais elle gardent la banane. Elles se classent au 15ème et 16ème rang des deux critères étudiés.
Dernière fierté locale, l'avocat ! Marron, si possible... Il représente 39% des 1000 tonnes produites. Nous pouvons le déguster le cœur léger. Il est 19ème sur 19 pour l'échantillonnage et 17ème sur 19 le dépassement de limite maximale.
L'ananas se porte bien
Nos productions locales de légumes étant vendues sur place, aucun chiffre n'est disponible concernant nos salades, choux ou haricots. En revanche, nos fruits sont bel et bien présents. À tout seigneur, tout honneur. L'ananas Victoria : La Réunion cultive 46% de la production française, soit 30 000 tonnes. Il se classe au 13ème rang de la liste des 19 fruits étudiés, pour sa teneur en pesticide, et au 18ème pour sa teneur en produit dangereux pour la santé.
La mangue réunionnaise sous surveillance
La Réunion est également en tête des départements producteurs de mangues avec 60% des 3 000 tonnes françaises. Si l'échantillonnage place nos mangues à la 14ème place des fruits chargés en produits chimiques, certaines sont très chargées avec un dépassement des limites maximales propulsant la mangue à la deuxième place de la teneur en produits dangereux.
Les oranges et les mandarines mauvaises élèves
Vous ne le saviez sûrement pas, tout comme nous, mais La Réunion produit 43% de la totalité des oranges françaises. Cette fois, c'est le mauvais élève de la classe. Elles sont 7ème sur 19 pour la quantité de résidus et 3ème pour le dépassement de la limite maximale de pesticides.
Ses cousines, mandarines et clémentines ne se portent pas beaucoup mieux. Même si la production réunionnaise est limitée avec 15%, les deux petits agrumes sont chargés. 2ème pour les échantillons contenant des résidus et 6ème pour le dépassement des limites considérées comme acceptables.
L'avocat se défend bien
Le citron réunionnais a également été testé. C'est moyen ! 10ème et 10ème pour les deux paramètres par rapport aux 19 fruits qui font l'objet d'une étude poussée.
La culture de la banane à La Réunion est franchement toute petite par rapport aux Antilles. À peine 3% de la production française, mais elle gardent la banane. Elles se classent au 15ème et 16ème rang des deux critères étudiés.
Dernière fierté locale, l'avocat ! Marron, si possible... Il représente 39% des 1000 tonnes produites. Nous pouvons le déguster le cœur léger. Il est 19ème sur 19 pour l'échantillonnage et 17ème sur 19 le dépassement de limite maximale.