Ils s’appellent Payet, Mussard, Hoareau, Morel, Mussard, Mellon, Savy ou Choppy, des noms de familles réunionnaises et seychelloises. Six Réunionnais passionnés de généalogie sont dans l’archipel pour rencontrer leurs cousins…
Ils vivent à 1800 kilomètres les uns des autres. Pourtant, ils partagent la même origine.
Jean-Paul Rivière, membre émérite du Cercle généalogique de Bourbon (CgB) s’est plongé dans l’histoire de sa famille. D’archives en archives, il est remonté sur huit génération jusqu’en 1853.
Là, il est à La digue aux Seychelles. Les Hoareau, Lallemand, Payet ou Mussard sont des noms courants.
Au fil des recherches, il découvre avec l’aide des autres membres du Cercle qu’il partage des origines communes avec la famille Morel.
Des rencontres émouvantes
L’envie, la passion et l’aide du ministère du Tourisme et de la Culture des Seychelles permettent finalement aux cousins de se rencontrer.
En début de semaines, ils se sont retrouvés à La Digue, la troisième île la plus peuplée des Seychelles. Elle a servi d’escale et parfois de pied à terre aux colons qui devaient rejoindre La Réunion au 19ème siècle.
Là-bas comme ici, il était question d’ancêtres communs, mais avec le temps les paroles s’envolent et heureusement que les écrits restent.
Des colons de Bourbon, de Maurice et de France
Si la grande majorité des familles concernées se disent surprises, toutes sont ravies de cette découverte.
A l’occasion des retrouvailles liées à l’histoire commune de cet archipel et de ce département français de l’océan Indien, une exposition sur le peuplement de La Digue a été ouverte au grand public.
Jehanne-Emmanuelle Monnier, spécialiste de cette période historique entre les deux îles est longuement revenue, documents à l’appui, sur l’installation des 25 premiers colons sur cette terre (13 venaient de Bourbon, 7 de Maurice et 15 de France) relate sur son site seychellenewsagency.com.
En images avec Jean Régis Ramssamy et Philipe Hoareau.
Jean-Paul Rivière, membre émérite du Cercle généalogique de Bourbon (CgB) s’est plongé dans l’histoire de sa famille. D’archives en archives, il est remonté sur huit génération jusqu’en 1853.
Là, il est à La digue aux Seychelles. Les Hoareau, Lallemand, Payet ou Mussard sont des noms courants.
Au fil des recherches, il découvre avec l’aide des autres membres du Cercle qu’il partage des origines communes avec la famille Morel.
Des rencontres émouvantes
L’envie, la passion et l’aide du ministère du Tourisme et de la Culture des Seychelles permettent finalement aux cousins de se rencontrer.
En début de semaines, ils se sont retrouvés à La Digue, la troisième île la plus peuplée des Seychelles. Elle a servi d’escale et parfois de pied à terre aux colons qui devaient rejoindre La Réunion au 19ème siècle.
Là-bas comme ici, il était question d’ancêtres communs, mais avec le temps les paroles s’envolent et heureusement que les écrits restent.
Des colons de Bourbon, de Maurice et de France
Si la grande majorité des familles concernées se disent surprises, toutes sont ravies de cette découverte.
A l’occasion des retrouvailles liées à l’histoire commune de cet archipel et de ce département français de l’océan Indien, une exposition sur le peuplement de La Digue a été ouverte au grand public.
Jehanne-Emmanuelle Monnier, spécialiste de cette période historique entre les deux îles est longuement revenue, documents à l’appui, sur l’installation des 25 premiers colons sur cette terre (13 venaient de Bourbon, 7 de Maurice et 15 de France) relate sur son site seychellenewsagency.com.
En images avec Jean Régis Ramssamy et Philipe Hoareau.