Le site Réunionnais du monde dresse le portait d’une réunionnaise en charge du programme de Codéveloppement Franco-Comorien. Nadège Rossini-Lagardère tente d’aider les Comores et sa population à emprunter le chemin du développement.
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Nadège Rossini-Lagardère, chargée de programme Franco-comorien de Codéveloppement, est très réaliste. Elle a vu dans le volontariat l’opportunité de se lancer dans la vie active sans attendre un hypothétique emploi.
Diplômée en droit et titulaire d’un Master 2 en relations internationales de l’université de La Réunion, elle s’est tournée vers la commission de l’océan Indien (COI) pour effectuer son stage de fin d’étude. Là, elle a découvert la coopération entre les pays de la zone. Un univers encore neuf, à parfaire, mais qui offre de réelles perspectives d’avenir pour les jeunes qui souhaitent aider et découvrir nos voisins.
Chargée de mission pour le fond social de développement (FSD), elle tente de répondre aux attentes les plus urgentes des populations.
Une carte de La Réunion et un livre de cuisine
Ce contrat est de deux ans. Il lui a permis de se rendre à Madagascar, à Rodrigues et aujourd’hui aux Comores où elle travaille pour l’Ambassade de France.
Dans un premier temps, elle était basée à Anjouan, mais elle vient de revenir sur l’île de la Grande-Comores.
La Réunion lui manque tous les jours. Quand elle s’est lancée dans cette aventure, elle a emmené une carte en relief de son île que lui avaient offert des amis, un livre de cuisine réunionnaise et des photos. Les paysages montagneux et verdoyants de son pays « d’adoption » ne dépaysent pas trop la Tamponnaise, mais en revanche elle confie être en manque d’un rougail saucisse ou d’une barquette de bouchons recouverts de Siave avec un peu de piment chinois.
L’avenir avec les pays de la COI ?
A la fin de ce contrat, Nadège Rossini-Lagardère souhaite poursuivre dans la coopération internationale. Dans l’idéal, elle travaillerait pour la pour la région océan Indien depuis La Réunion. Elle a vu le jour à Marseille, mais elle a grandi, depuis l’âge de 4 ans, au Tampon et toute sa famille est installée à Saint-Pierre.
Au fil des expériences, des stages et des mois passés sur le terrain, la jeune femme a appris à suivre un dossier, écouter les attentes d’une population, cibler les besoins et organiser un programme pérenne pour que les fonds de la coopération soient utilisés utilement.
Un savoir précieux à l’heure ou les politiques locaux comme les dirigeants métropolitains incité La Réunion et sa jeunesse à se tourner vers les pays de la zone.
Diplômée en droit et titulaire d’un Master 2 en relations internationales de l’université de La Réunion, elle s’est tournée vers la commission de l’océan Indien (COI) pour effectuer son stage de fin d’étude. Là, elle a découvert la coopération entre les pays de la zone. Un univers encore neuf, à parfaire, mais qui offre de réelles perspectives d’avenir pour les jeunes qui souhaitent aider et découvrir nos voisins.
Chargée de mission pour le fond social de développement (FSD), elle tente de répondre aux attentes les plus urgentes des populations.
Une carte de La Réunion et un livre de cuisine
Ce contrat est de deux ans. Il lui a permis de se rendre à Madagascar, à Rodrigues et aujourd’hui aux Comores où elle travaille pour l’Ambassade de France.
Dans un premier temps, elle était basée à Anjouan, mais elle vient de revenir sur l’île de la Grande-Comores.
La Réunion lui manque tous les jours. Quand elle s’est lancée dans cette aventure, elle a emmené une carte en relief de son île que lui avaient offert des amis, un livre de cuisine réunionnaise et des photos. Les paysages montagneux et verdoyants de son pays « d’adoption » ne dépaysent pas trop la Tamponnaise, mais en revanche elle confie être en manque d’un rougail saucisse ou d’une barquette de bouchons recouverts de Siave avec un peu de piment chinois.
L’avenir avec les pays de la COI ?
A la fin de ce contrat, Nadège Rossini-Lagardère souhaite poursuivre dans la coopération internationale. Dans l’idéal, elle travaillerait pour la pour la région océan Indien depuis La Réunion. Elle a vu le jour à Marseille, mais elle a grandi, depuis l’âge de 4 ans, au Tampon et toute sa famille est installée à Saint-Pierre.
Au fil des expériences, des stages et des mois passés sur le terrain, la jeune femme a appris à suivre un dossier, écouter les attentes d’une population, cibler les besoins et organiser un programme pérenne pour que les fonds de la coopération soient utilisés utilement.
Un savoir précieux à l’heure ou les politiques locaux comme les dirigeants métropolitains incité La Réunion et sa jeunesse à se tourner vers les pays de la zone.