11 permis ont été retirés ce weekend pour conduite sous l'empire d'un état alcoolique. Des rétentions justifiées, mais qui sont désormais ouvertement ignorée. 11 usagers circulaient alors qu'ils n'avaient plus de droit de conduire.
De vendredi à dimanche soir, gendarmes et policiers ont quadrillé les routes de La Réunion pour luttrer contre l'alcool au volant et les excès de vitesse. Une énième opération d'envergure qui n'a pas dissuader des chauffards à s'affranchir des règles de conduite afin que tout le monde puisse rouler en toute sécurité.
La palme de l'inconscience est à mettre à l'actif d'un jeune conducteur qui circulait sur la RN2 à une vitesse oscillant entre 150 et 160 km/h sur la quatre-voies limitée à 110. Le conducteur a été intercepté par les gendarmes après plusieurs minutes de course-poursuite, malgré les gyrophares allumés et les sirènes hurlantes.
L'alcoolémie a expliqué en grande partie cette insouciance. Le jeune homme circulait avec 2,48 gr d'alcool par litre de sang.
À contresens sur la quatre-voies
Le second fou du volant devrait être rapidement identifié. Le chauffard, qui ne devait pas être dans son état normal, a emprunté la RN1 à contresens entre Saint-Pierre et Saint-Louis. En chemin, il a provoqué un accident matériel, mais a poursuivi sa route. Un délit de fuite qui ne devrait pas rester longtemps mystérieux, compte tenu des nombreuses caméras de surveillances qui sont installées le long des voies rapides.
Si l'on ajoute à ce bilan déjà inquiétant, les 11 retraits de permis effectués par les gendarmes, dimanche matin à la sortie des discothèques par les gendarmes, et les 12 taux délictueux relevés en zone police, avec un conducteur contrôlé à 2,34 g/l, les opérations routes bleues sont loin d'être terminées.
Le permis s'envole avec les points
L'ultime point noir, de cette vaste opération de contrôles coordonnés des forces de l'ordre, est l'augmentation alarmante du nombre de conducteurs qui circulent malgré un retrait de permis de conduire. 11 usagers étaient au volant, malgré la confiscation de leur permis...
Cette problématique soulevée, dès la mise en place du permis à point, par les associations de consommateurs et celles qui défendent les usagers de la route, est désormais une réalité.
D'autres conducteurs se rapprochent, chaque semaine, de cette sanction, qui pour un téléphone au volant, une ceinture, une ligne continue, etc. Les centaines d'infractions diverses relevées par les gendarmes et les policiers en charge de surveiller et sécuriser les routes.
La palme de l'inconscience est à mettre à l'actif d'un jeune conducteur qui circulait sur la RN2 à une vitesse oscillant entre 150 et 160 km/h sur la quatre-voies limitée à 110. Le conducteur a été intercepté par les gendarmes après plusieurs minutes de course-poursuite, malgré les gyrophares allumés et les sirènes hurlantes.
L'alcoolémie a expliqué en grande partie cette insouciance. Le jeune homme circulait avec 2,48 gr d'alcool par litre de sang.
À contresens sur la quatre-voies
Le second fou du volant devrait être rapidement identifié. Le chauffard, qui ne devait pas être dans son état normal, a emprunté la RN1 à contresens entre Saint-Pierre et Saint-Louis. En chemin, il a provoqué un accident matériel, mais a poursuivi sa route. Un délit de fuite qui ne devrait pas rester longtemps mystérieux, compte tenu des nombreuses caméras de surveillances qui sont installées le long des voies rapides.
Si l'on ajoute à ce bilan déjà inquiétant, les 11 retraits de permis effectués par les gendarmes, dimanche matin à la sortie des discothèques par les gendarmes, et les 12 taux délictueux relevés en zone police, avec un conducteur contrôlé à 2,34 g/l, les opérations routes bleues sont loin d'être terminées.
Le permis s'envole avec les points
L'ultime point noir, de cette vaste opération de contrôles coordonnés des forces de l'ordre, est l'augmentation alarmante du nombre de conducteurs qui circulent malgré un retrait de permis de conduire. 11 usagers étaient au volant, malgré la confiscation de leur permis...
Cette problématique soulevée, dès la mise en place du permis à point, par les associations de consommateurs et celles qui défendent les usagers de la route, est désormais une réalité.
D'autres conducteurs se rapprochent, chaque semaine, de cette sanction, qui pour un téléphone au volant, une ceinture, une ligne continue, etc. Les centaines d'infractions diverses relevées par les gendarmes et les policiers en charge de surveiller et sécuriser les routes.