Élèves, parents et enseignants du lycée Georges-Brassens à Saint-Denis ont manifesté, ce mardi matin, contre le futur téléphérique qui devrait relier Le Chaudron à Bois-de-Nèfles Sainte-Clotilde. Un projet qui doit passer au-dessus de l'établissement, d'où l'inquiétude des opposants.
La sécurité est garantie, les promoteurs du projet affirment que le téléphérique ne fera pas de bruit et qu'il ne sera pas une telle distraction que cela pour les élèves. Pourtant, depuis qu'ils ont découvert que le futur téléphérique, allant du Chaudron à Bois-de-Nèfles Sainte-Clotilde, va passer au-dessus de la cour du lycée, les enseignants, les élèves et leurs parents ne décolèrent pas. Certes, le projet ne doit sortir de terre qu'en 2019, mais quid des générations futures. Ils étaient donc un peu plus de 70 à manifester ce mardi 17 avril 2018 devant le lycée.
Cette manifestation a porté ses fruits. Les enseignants et les lycéens ont rencontré trois élus de la région. Après 1 h 30 de discussions, il a été convenu d'une nouvelle réunion avec des élus de la ville de Saint-Denis, des élus de la région et des responsables de la CINOR. Le futur tracé a été adopté, cependant, les futures discussions seront ouvertes et les solutions débattues. Ce rendez-vous devrait avoir lieu dans les prochains jours.
Lors de ce débat, il a également été question de l'avenir du lycée Georges-Brassens. Les élus de la région se sont voulus rassurants, affirmant que les dotations prévues en 2019 ne varieraient pas d'un iota.
Cette manifestation a porté ses fruits. Les enseignants et les lycéens ont rencontré trois élus de la région. Après 1 h 30 de discussions, il a été convenu d'une nouvelle réunion avec des élus de la ville de Saint-Denis, des élus de la région et des responsables de la CINOR. Le futur tracé a été adopté, cependant, les futures discussions seront ouvertes et les solutions débattues. Ce rendez-vous devrait avoir lieu dans les prochains jours.
Lors de ce débat, il a également été question de l'avenir du lycée Georges-Brassens. Les élus de la région se sont voulus rassurants, affirmant que les dotations prévues en 2019 ne varieraient pas d'un iota.