Depuis hier, mardi 26 juin, la ville de Saint-Leu accueille les personnes non-assurées ayant subit des dégâts pendant la tempête Fakir. Une aide leur sera ainsi apportée pour remplir des demandes d'indemnisation.
L'état de catastrophe naturelle, suite au passage de la tempête Fakir, ayant été reconnu pour 15 communes de La Réunion, de nombreux sinistrés pourront se faire indemniser. Les personnes assurées ont d'ores et déjà effectué les démarches nécessaires auprès de leur assurance, mais pour ceux qui n'en possède pas, il existe un autre moyen de se faire aider.
Ainsi, à Saint-Leu, la municipalité a mis en place depuis hier, mardi 26 juin, un service d'aide à destination des personnes non-assurées. Ces dernières peuvent ainsi se rendre dans les permanences du service réglementation de la mairie centrale. Elles y retireront et rempliront ainsi une demande d'indemnisation.
Si besoin, des agents sont là pour les guider et les aider à compléter leur dossier. Des justificatifs concernant la situation financière ou les éventuels travaux déjà réalisés, ou des photos seront nécessaires. S'il n'existe pas de délais pour remplir la demande, la durée d'instruction du dossier est tout de même estimée à 3, voire 6 mois. Des dossiers étudiés au cas par cas et pour lesquels le taux d'indemnisation est de 30%.
Le reportage de Jean-Marc Seguin.
Ainsi, à Saint-Leu, la municipalité a mis en place depuis hier, mardi 26 juin, un service d'aide à destination des personnes non-assurées. Ces dernières peuvent ainsi se rendre dans les permanences du service réglementation de la mairie centrale. Elles y retireront et rempliront ainsi une demande d'indemnisation.
Si besoin, des agents sont là pour les guider et les aider à compléter leur dossier. Des justificatifs concernant la situation financière ou les éventuels travaux déjà réalisés, ou des photos seront nécessaires. S'il n'existe pas de délais pour remplir la demande, la durée d'instruction du dossier est tout de même estimée à 3, voire 6 mois. Des dossiers étudiés au cas par cas et pour lesquels le taux d'indemnisation est de 30%.
Le reportage de Jean-Marc Seguin.
Reportage
•