Les agents du Groupement Unité Territoriale du Conseil départemental à Saint-Leu n'en reviennent toujours pas. Une femme de 34 ans armée d'un galet et de plusieurs objets a agressé hier mardi le directeur et trois employés. Elle a été admise dans un service psychiatrique.
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On en sait plus sur les circonstances de l’agression commise par une mère de famille, mardi en début d’après-midi au GUT de Saint-Leu. Le parquet de Saint-Pierre indique d’abord que « compte-tenu de son état de grande confusion », la garde à vue de cette femme de 34 ans a été levée dans la nuit.
Cette dernière a été admise dans un service psychiatrique et « une procédure de soins sans consentement sur décision du représentant de l’Etat est en cours ». La mise en cause n’a au final pas pu être entendue sur les faits qui lui sont reprochés. On ignore donc toujours les raisons qui l’ont poussée à agresser le directeur et trois employés.
Où en est l’enquête ouverte pour violences aggravées ? Selon les premiers éléments rassemblés par les gendarmes de la brigade des recherches de Saint-Paul, la mère de famille s’est présentée devant l’établissement social à 14 heures armée d’une pierre, d’un tube d’aspirateur et d’un couteau.
Elle a brisé une vitre à l’aide de la pierre, a porté des coups de tube et a menacé une éducatrice avec le couteau. Plusieurs personnes intervenues pour désarmer la mise en cause ont subi des blessures des armes portées par cette dernière.
L’éducatrice la plus durement touchée est toujours hospitalisée. Si quatre personnes portent des blessures physiques, les nombreux agents présents ont fait part de leur fort retentissement aux enquêteurs.
Dès mardi soir, le Conseil Départemental a déploré cette agression. Selon la collectivité, "cet acte de violence par le moyen d'une arme blanche est le fait d'une administrée ayant fait l'objet d'un signalement dans le cadre d'une procédure de protection de l'enfance en danger".
Même si aucun pronostic vital n'est engagé, le Département souhaite assurer sur le plan judiciaire la protection de ses employés. De son côté, le parquet de Saint-Pierre n'envisage pas d'interruption totale de travail supérieure à 8 jours pour les victimes de la trentenaire.
Les services d'aide sociale à l'enfance de la Maison départementale de Saint-Leu sont fermés aujourd'hui et une cellule d'écoute psychologique a été mise en place pour les agents.
Cette dernière a été admise dans un service psychiatrique et « une procédure de soins sans consentement sur décision du représentant de l’Etat est en cours ». La mise en cause n’a au final pas pu être entendue sur les faits qui lui sont reprochés. On ignore donc toujours les raisons qui l’ont poussée à agresser le directeur et trois employés.
Où en est l’enquête ouverte pour violences aggravées ? Selon les premiers éléments rassemblés par les gendarmes de la brigade des recherches de Saint-Paul, la mère de famille s’est présentée devant l’établissement social à 14 heures armée d’une pierre, d’un tube d’aspirateur et d’un couteau.
Elle a brisé une vitre à l’aide de la pierre, a porté des coups de tube et a menacé une éducatrice avec le couteau. Plusieurs personnes intervenues pour désarmer la mise en cause ont subi des blessures des armes portées par cette dernière.
L’éducatrice la plus durement touchée est toujours hospitalisée. Si quatre personnes portent des blessures physiques, les nombreux agents présents ont fait part de leur fort retentissement aux enquêteurs.
Dès mardi soir, le Conseil Départemental a déploré cette agression. Selon la collectivité, "cet acte de violence par le moyen d'une arme blanche est le fait d'une administrée ayant fait l'objet d'un signalement dans le cadre d'une procédure de protection de l'enfance en danger".
Même si aucun pronostic vital n'est engagé, le Département souhaite assurer sur le plan judiciaire la protection de ses employés. De son côté, le parquet de Saint-Pierre n'envisage pas d'interruption totale de travail supérieure à 8 jours pour les victimes de la trentenaire.
Les services d'aide sociale à l'enfance de la Maison départementale de Saint-Leu sont fermés aujourd'hui et une cellule d'écoute psychologique a été mise en place pour les agents.