Sept bénévoles de la sécurité routière, aidés de trois policiers, se sont installés, ce vendredi, à proximité du radar pédagogique qui vient d'être positionné à Ligne-Paradis. Tout au long de la matinée, ils vont interpeller les usagers pour les interroger sur leur vision de la route.
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Un radar pédagogique vient d'être installé au bord de la route de Ligne-Paradis à Saint-Pierre. Il permet aux chauffeurs de savoir à quelle vitesse, ils circulent. S'ils passent à moins de 30 km/h, l'affichage est vert, si ils sont au-delà de la limitation de vitesse, le nombre apparaît en rouge.
Sept bénévoles de l'association pour la promotion de la sécurité routière à La Réunion sont sur place. Ils sont accompagnés de trois policiers qui arrêtent les automobilistes, avec le sourire, afin de les soumettre à un questionnaire sur leur perception de la route et de la sécurité routière.
"Ce lieu n'a pas été choisi par hasard", précise Sophie Person, journaliste dans le Sud de l'île pour Réunion la 1ère, "la route de Ligne-Paradis est très fréquentée et, à plusieurs endroits, la vitesse est limitée à 30 km/h". Cette action s'inscrit dans le plan départemental de la préfecture afin d'améliorer la sécurité routière. La sous-préfète de Saint-Benoît, Véronique Beuve, qui est en charge de ce dossier pour l'Etat localement, est d'ailleurs venue sur place en fin de matinée.
Pour mémoire, 22 personnes ont perdu la vie sur les routes du département depuis le 1er janvier 2019.
Sept bénévoles de l'association pour la promotion de la sécurité routière à La Réunion sont sur place. Ils sont accompagnés de trois policiers qui arrêtent les automobilistes, avec le sourire, afin de les soumettre à un questionnaire sur leur perception de la route et de la sécurité routière.
Une opération qui en appelle de nombreuses autres
"Ce lieu n'a pas été choisi par hasard", précise Sophie Person, journaliste dans le Sud de l'île pour Réunion la 1ère, "la route de Ligne-Paradis est très fréquentée et, à plusieurs endroits, la vitesse est limitée à 30 km/h". Cette action s'inscrit dans le plan départemental de la préfecture afin d'améliorer la sécurité routière. La sous-préfète de Saint-Benoît, Véronique Beuve, qui est en charge de ce dossier pour l'Etat localement, est d'ailleurs venue sur place en fin de matinée.
Pour mémoire, 22 personnes ont perdu la vie sur les routes du département depuis le 1er janvier 2019.