Le phénomène n'est pas rare, les requins boulodogues étant capables d'evoluer en eau de mer et en eau douce. Les deux spécimens observés sont des juvéniles d'1,10 m. Aucun adulte n'a été observé. La prudence est recommandée aux abords de la rivière.
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Deux requins juvéniles observés dans le bras de dérivation de la Rivière Sainte-Suzanne. Ce sont des agents du Stade en Eaux Vives qui en ont été témoins hier, mercredi 1er juillet, vers 11h30. Observation confirmée dans l’après-midi par le Centre Sécurité Requin.
Au moyen d’un drone, survolant les berges, les deux requins ont ainsi été repérés au niveau du lit de la rivière. Il s’agissait de deux requins bouledogues juvéniles d’environ 1,10 m. Cette espèce est capable d’évoluer en eau douce et en eau de mer.
Il n’est pas rare d’en voir, des juvéniles notamment, au niveau des embouchures de rivières. Leur présence peut s’expliquer par une mise bas dans le lit de la rivière, ou par le fait que le jeune poisson se sentant en danger y cherche refuge.
Le risque d’attaque sur l’homme par un requin juvénile de ce type est extrêmement faible. Ils sont en général assez farouches et craintifs. Ce jeudi, les deux spécimens étaient toujours présents, la prudence est donc recommandée aux abords des lieux. Pour rappel, l’embouchure de la rivière Sainte-Suzanne est fermée depuis le mois de mars.
Aucun requin adulte n’a été aperçu lors du survol de la zone, mais par mesure de précaution, une opération de prélèvement, par des pêcheurs mandatés, est prévue vendredi après-midi, et ce week-end si nécessaire.
Au moyen d’un drone, survolant les berges, les deux requins ont ainsi été repérés au niveau du lit de la rivière. Il s’agissait de deux requins bouledogues juvéniles d’environ 1,10 m. Cette espèce est capable d’évoluer en eau douce et en eau de mer.
Il n’est pas rare d’en voir, des juvéniles notamment, au niveau des embouchures de rivières. Leur présence peut s’expliquer par une mise bas dans le lit de la rivière, ou par le fait que le jeune poisson se sentant en danger y cherche refuge.
Le risque d’attaque sur l’homme par un requin juvénile de ce type est extrêmement faible. Ils sont en général assez farouches et craintifs. Ce jeudi, les deux spécimens étaient toujours présents, la prudence est donc recommandée aux abords des lieux. Pour rappel, l’embouchure de la rivière Sainte-Suzanne est fermée depuis le mois de mars.
Aucun requin adulte n’a été aperçu lors du survol de la zone, mais par mesure de précaution, une opération de prélèvement, par des pêcheurs mandatés, est prévue vendredi après-midi, et ce week-end si nécessaire.