Si les vacanciers se réjouissent du Soleil omniprésent, les agriculteurs regardent le ciel et attendent les nuages et la pluie. Dans certaines exploitations la récolte est déjà perdue.
A la Petite-Ile, Patrice Hoareau est désespéré. Cela fait des semaines qu'il attend la pluie et aujourd'hui il ne peut que constater les dégâts. Le sol est sec, ses cultures maraichères dépérissent à vue d'œil.
Sur la partie irriguée, les coupures d'alimentation de la SAPHIR ne permettent pas d'envisager d’entreprendre des nouvelles cultures.
Un peu plus au Sud à Vincendo, les jeunes pousses de canne, n'arriveront pas à maturité. A certains endroits, elles ne forment plus qu'un amas de paille.
La retenue d'eau collinaire sur l'exploitation de Jean-Bernard Gonthier, illustre bien la situation : Il ne reste plus que quelques flaques au fond du réservoir. En tout trois jours d'eau pour irriguer les serres de fruits de la passion.
Si les pluies n'arrivent pas, il faudra transporter de l'eau par camion-citerne, pour sauver la production.
En images avec Adèle Nativel et Thierry Chenayer.
Sur la partie irriguée, les coupures d'alimentation de la SAPHIR ne permettent pas d'envisager d’entreprendre des nouvelles cultures.
Un peu plus au Sud à Vincendo, les jeunes pousses de canne, n'arriveront pas à maturité. A certains endroits, elles ne forment plus qu'un amas de paille.
La retenue d'eau collinaire sur l'exploitation de Jean-Bernard Gonthier, illustre bien la situation : Il ne reste plus que quelques flaques au fond du réservoir. En tout trois jours d'eau pour irriguer les serres de fruits de la passion.
Si les pluies n'arrivent pas, il faudra transporter de l'eau par camion-citerne, pour sauver la production.
En images avec Adèle Nativel et Thierry Chenayer.