Les sept migrants sri-lankais arrivés au Port mercredi dernier, viennent de recevoir un avis négatif de l’Ofpra à leur demande d’entrée sur le territoire. Ils attendent désormais que le ministère de l’Intérieur confirme ou infirme cet avis.
Arrivés mercredi 26 décembre à La Réunion, quelques jours à peine après les 62 sri-lankais interceptés au large de Saint-Philippe le 14 décembre dernier, les sept migrants , de même nationalité, viennent de se voir refuser leur entrée sur le territoire par l’Office Français de Protection des Réfugiés et des Apatrides.
Un refus qui est en fait un avis, le ministère de l’Intérieur doit encore se prononcer sur la question. C’est lui qui décidera s’il confirme ce refus ou s’il autorise les sept hommes à entrer sur le territoire français.
Si le ministère de l’Intérieur accepte d’admettre ces migrants, ils pourront ensuite constituer un dossier de demande d’asile. Ils auront alors 10 jours pour le déposer en préfecture.
En revanche, s’il confirme le refus de l’Ofpra, les 7 sri-lankais devront quitter le territoire. Ils auront néanmoins 48 heures après le rendu de la décision pour faire un recours devant le tribunal administratif. Ce derneier aura alors 3 jours pour se prononcer.
Le recours étant suspensif, les migrants resteront sur le territoire en attendant la décision. A leur arrivée sur l’île, ils ont été placés en zone d’attente et pris en charge par l’Etat, comme l’avaient été les 62 sri-lankais. Ils le demeureront le temps de la procédure.
Un refus qui est en fait un avis, le ministère de l’Intérieur doit encore se prononcer sur la question. C’est lui qui décidera s’il confirme ce refus ou s’il autorise les sept hommes à entrer sur le territoire français.
Deux possibilités
Si le ministère de l’Intérieur accepte d’admettre ces migrants, ils pourront ensuite constituer un dossier de demande d’asile. Ils auront alors 10 jours pour le déposer en préfecture.
En revanche, s’il confirme le refus de l’Ofpra, les 7 sri-lankais devront quitter le territoire. Ils auront néanmoins 48 heures après le rendu de la décision pour faire un recours devant le tribunal administratif. Ce derneier aura alors 3 jours pour se prononcer.
Le recours étant suspensif, les migrants resteront sur le territoire en attendant la décision. A leur arrivée sur l’île, ils ont été placés en zone d’attente et pris en charge par l’Etat, comme l’avaient été les 62 sri-lankais. Ils le demeureront le temps de la procédure.