Les opérations de secours se poursuivent à proximité des îles Saint-Paul et Amsterdam
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Le bateau Austral a pu se positionner ce lundi pour permettre aux membres de l'équipage de rejoindre le marin blessé, arrivé dimanche en fin d'après-midi à la base de Martin-de-Viviès, dans le district des îles Saint-Paul et Amsterdam (TAAF).
Le second marin blessé passera une nouvelle nuit dans le refuge d'Entrecasteaux auprès du médecin et des deux sauveteurs volontaires. Il a pu établir un contact téléphonique satellitaire avec les membres de sa famille et ses proches, en attendant d'être en capacité physique d’effectuer le trajet vers la base de Martin-de-Viviès, lorsque les conditions météorologiques le permettront.
Le drame s'est déroulé vendredi dernier. Une lame de fond suivie d’une vague de submersion a fait chavirer une chaloupe avec trois membres d’équipage réunionnais à son bord. Les marins travaillaient sur le navire langoustier Austral, propriété de la SAPMER.
La victime est un portois de 52 ans. Le corps du marin défunt a pu être transporté à bord de l'Austral malgré le relief et notamment la crête située au-dessus de la Baie aux Loups. L'homme naviguait sur le navire langoustier depuis 2016.
L’opération de secours sur zone est toujours en cours et se prolongera dans les prochains jours. Les services opérationnels de la SAPMER, l’équipage de l’Austral, des TAAF et du CROSS Réunion sont en relations permanentes et mobilisées avec les équipes médicales et de secours présentes sur l’Ile d’Amsterdam depuis le vendredi 5 avril 2019.
L'île d'Amsterdam est une base française située au milieu du sud de l'Océan Indien. 24 personnes vivent sur ce petit bout de terre de 58 km², à proximité d'une autre l'île administrée par la Terres Australes et Antarctiques Françaises, celle de Saint-Paul.
La pêche dans cette zone est une opération délicate. Nous avons rencontré Antonio Bonjiovanni. Il a été marin à bord de l'Austral entre autre pour la pêche à la langouste près des îles d'Amsterdam et de Saint-Paul. Il a travaillé dans des conditions très difficiles mais il est toujours animé par cette passion de la mer qui on le sait peut malheureusement être fatale.
(Re)Voir le reportage de Jean-Marc Seguin:
Le second marin blessé passera une nouvelle nuit dans le refuge d'Entrecasteaux auprès du médecin et des deux sauveteurs volontaires. Il a pu établir un contact téléphonique satellitaire avec les membres de sa famille et ses proches, en attendant d'être en capacité physique d’effectuer le trajet vers la base de Martin-de-Viviès, lorsque les conditions météorologiques le permettront.
Une lame de fond mortelle
Le drame s'est déroulé vendredi dernier. Une lame de fond suivie d’une vague de submersion a fait chavirer une chaloupe avec trois membres d’équipage réunionnais à son bord. Les marins travaillaient sur le navire langoustier Austral, propriété de la SAPMER.
La victime est un portois de 52 ans. Le corps du marin défunt a pu être transporté à bord de l'Austral malgré le relief et notamment la crête située au-dessus de la Baie aux Loups. L'homme naviguait sur le navire langoustier depuis 2016.
L’opération de secours sur zone est toujours en cours et se prolongera dans les prochains jours. Les services opérationnels de la SAPMER, l’équipage de l’Austral, des TAAF et du CROSS Réunion sont en relations permanentes et mobilisées avec les équipes médicales et de secours présentes sur l’Ile d’Amsterdam depuis le vendredi 5 avril 2019.
Une base française au milieu du Sud de l'Océan Indien
L'île d'Amsterdam est une base française située au milieu du sud de l'Océan Indien. 24 personnes vivent sur ce petit bout de terre de 58 km², à proximité d'une autre l'île administrée par la Terres Australes et Antarctiques Françaises, celle de Saint-Paul.
La pêche dans cette zone est une opération délicate. Nous avons rencontré Antonio Bonjiovanni. Il a été marin à bord de l'Austral entre autre pour la pêche à la langouste près des îles d'Amsterdam et de Saint-Paul. Il a travaillé dans des conditions très difficiles mais il est toujours animé par cette passion de la mer qui on le sait peut malheureusement être fatale.
(Re)Voir le reportage de Jean-Marc Seguin: