Le swami Advayananda, est responsable de l'ashram du Port. Depuis 2009, il témoigne des difficultés que rencontrent les séropositifs.
Swami Advayananda :
"Dès qu'on apprend sa séropositivité, c'est un coup de marteau sur la tête... On pense au suicide. On ne peut pas supporter le regard des autres... C'est ça qui tue le plus. Ensuite, on vit avec cette discrimination, très subtile mais qui existe."
C'est la religion qui l'a sauvé.
Après 18 ans de silence, en 2009, il décide de faire connaître publiquement de sa séropositivité. "J'aime mon VIF, le virus fait parti de mon corps, de ma personnalité, il n'y a aucune raison de le combattre. Il ne faut pas voir l'infection comme une fatalité".
Il encourage ceux qui sont dans son cas à parler.
"Dès qu'on apprend sa séropositivité, c'est un coup de marteau sur la tête... On pense au suicide. On ne peut pas supporter le regard des autres... C'est ça qui tue le plus. Ensuite, on vit avec cette discrimination, très subtile mais qui existe."
C'est la religion qui l'a sauvé.
Après 18 ans de silence, en 2009, il décide de faire connaître publiquement de sa séropositivité. "J'aime mon VIF, le virus fait parti de mon corps, de ma personnalité, il n'y a aucune raison de le combattre. Il ne faut pas voir l'infection comme une fatalité".
Il encourage ceux qui sont dans son cas à parler.