Les 6 rescapés Sri Lankais demandent au Tribunal administratif d'annuler la décision d’obligation de quitter le territoire prise à leur encontre. Une procédure lancée par le préfet avant leur demande d'asile. Le délibéré est attendu demain.
A leur arrivée dans l’île, les 6 Sri Lankais secourus mercredi dernier ont fait l’objet d’un arrêté préfectoral d’obligation de quitter le territoire. Mais depuis leurs demandes d’asile formulées hier en préfecture, les 6 rescapés sont assignés à résidence, en attendant la décision de l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides.
Deux mesures contradictoires : c’est que qu’a plaidé ce mardi leur avocat au Tribunal administratif. Maître Mihidoiri Ali a ainsi entamé un recours contre l’obligation de quitter le territoire français. Car avec une attestation de demandeur d'asile en main, les étrangers sont autorisés à rester jusqu'à 21 jours sur le territoire, le temps de parachever toutes les démarches administratives.
A l’issue de l’audience, le représentant du préfet a demandé un non-lieu. Le délibéré est attendu demain.
Deux mesures contradictoires : c’est que qu’a plaidé ce mardi leur avocat au Tribunal administratif. Maître Mihidoiri Ali a ainsi entamé un recours contre l’obligation de quitter le territoire français. Car avec une attestation de demandeur d'asile en main, les étrangers sont autorisés à rester jusqu'à 21 jours sur le territoire, le temps de parachever toutes les démarches administratives.
A l’issue de l’audience, le représentant du préfet a demandé un non-lieu. Le délibéré est attendu demain.
Reportage
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