Les planteurs de l’UPNA réclament une meilleure transparence sur le mode de calcul de la richesse des cannes. Leurs revenus en dépendent. De très nombreuses exploitations pourraient être menacées.
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Les adhérents du syndicat de planteurs, l’Union Pour Nos Agriculteurs s’inquiètent du mode de calcul de la richesse de la canne. La campagne sucrière 2018 est mauvaise aux champs et mauvaise également à l’usine.
Pour eux, le mode de calcul actuel est obsolète. Selon son président, Patrice Pounoussamy, il s’agit d’ « une formule très complexe qui date des années 70 » et qui n’a peut-être plus lieu d’exister. Il évoque par exemple les fameux 2,8 points d’écart technique. Pour lui, ce n’est plus la même façon de produire, ni de fabriquer le sucre.
Les représentants de l’UPNA ont donc demandé, ce mercredi 22 août, au Conseil départemental de conduire un audit sur toute la filière. Ils estiment que la convention canne signée l’année dernière va la ruiner et conduire à la perte de centaines de petites et moyennes exploitations.
Le reportage de Michelle Bertil et Alexandra Pech.
Pour eux, le mode de calcul actuel est obsolète. Selon son président, Patrice Pounoussamy, il s’agit d’ « une formule très complexe qui date des années 70 » et qui n’a peut-être plus lieu d’exister. Il évoque par exemple les fameux 2,8 points d’écart technique. Pour lui, ce n’est plus la même façon de produire, ni de fabriquer le sucre.
Les représentants de l’UPNA ont donc demandé, ce mercredi 22 août, au Conseil départemental de conduire un audit sur toute la filière. Ils estiment que la convention canne signée l’année dernière va la ruiner et conduire à la perte de centaines de petites et moyennes exploitations.
Le reportage de Michelle Bertil et Alexandra Pech.
Reportage
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