Des kilomètres et des kilomètres d’embouteillages, des heures d’attente, mais au final un show toujours aussi exceptionnel. Si le jeu en vaut la chandelle, les conditions de circulation pour accéder au volcan sont particulièrement difficiles en ce week-end prolongé du 1er mai.
En éruption depuis vendredi 27 avril au soir, le Piton de la Fournaise attire énormément. Il faut dire qu’en ce week-end prolongé, l’affluence est d’autant plus forte. Pour l’heure, la lave continue de jaillir des entrailles du volcan. Malgré des conditions climatiques quelques peu hostiles cette nuit, vent, froid et passages nuageux, une bouche éruptive était bien visible.
Mais pour profiter du spectacle, il fallait s’armer de patience. Selon Laurent Figon, journaliste à Réunion la 1ère, plusieurs heures lui ont été nécessaires pour arriver jusqu’au parking Foc Foc et ainsi entamer la randonnée jusqu’au point de vue sur l’éruption.
Des heures de galère dans des bouchons qui n’en finissaient plus, explique-t-il. Bien avant la Plaine des Sables, la route forestière menant au volcan était en effet jonchée, de part et d’autre, de véhicules. Quelques panneaux de signalisation indiquaient bien l’interdiction de stationner, mais en l’absence des forces de l’ordre pour réguler la circulation, l’anarchie la plus totale semblait régner.
Pourtant, la place ne semblait pas manquer sur le parking Foc Foc, notre journaliste l’ayant trouvé aux 2/3 vide, une fois les kilomètres d’embouteillage dépassés. Attention, ce mardi encore, vous êtes encore nombreux à entamer l'ascension vers le volcan.
Mais pour profiter du spectacle, il fallait s’armer de patience. Selon Laurent Figon, journaliste à Réunion la 1ère, plusieurs heures lui ont été nécessaires pour arriver jusqu’au parking Foc Foc et ainsi entamer la randonnée jusqu’au point de vue sur l’éruption.
Des heures de galère dans des bouchons qui n’en finissaient plus, explique-t-il. Bien avant la Plaine des Sables, la route forestière menant au volcan était en effet jonchée, de part et d’autre, de véhicules. Quelques panneaux de signalisation indiquaient bien l’interdiction de stationner, mais en l’absence des forces de l’ordre pour réguler la circulation, l’anarchie la plus totale semblait régner.
Pourtant, la place ne semblait pas manquer sur le parking Foc Foc, notre journaliste l’ayant trouvé aux 2/3 vide, une fois les kilomètres d’embouteillage dépassés. Attention, ce mardi encore, vous êtes encore nombreux à entamer l'ascension vers le volcan.