Plus de cinquante personnes se sont affrontées durant 48 heures à Mayotte vendredi et samedi pour une double finale WebCup océan Indien. Cette année, c'est l'équipe de La Réunion qui en sort vainqueur sur les équipes sélectionnées de 2019, et Mayotte sur celles de 2018.
En raison de la présence du cyclone tropical Belna, les deux finales de la WebCup océan Indien ont dû être avancées de 24 heures. Le météore n'a pas entamé l'envie de compétition des différents acteurs venus de toute la région : La Réunion, Maurice, Rodrigues, Madagascar, Les Comores et Mayotte.
Durant 48 heures, les candidats ont planché sur le sauvetage de la planète par des extra-terrestre qui veulent donner une seconde chance à l'espèce humaine. En prenant exemple sur le woofing, cette pratique qui consiste à vivre et travailler chez les agriculteurs en échange d'un apprentissage, du gîte et du couvert, les extra-terrestre cherchent à développer cette pratique au niveau interstellaire. Les humains doivent tirer profit d'exemples d'autres planètes pour tenter de sauver la leur.
Des équipes sélectionnées en 2018, c'est celle de Mayotte qui remporte le 1er prix grâce à un site clair, très visible et d'une belle qualité graphique.
Parmi celles de 2019, c'est La Réunion qui gagne le concours grâce à une connexion à la 1ère page du site des plus originales : pas de login ni de mot de passe mais une connexion via webcam et reconnaissance faciale, pour savoir si c'est un humain ou un extra-terrestre !
Cette action a permis également à 15 femmes développeur-web des Comores des gérer un projet en temps limité avec l'aide d'autres développeurs.
L'épreuve s'est déroulé dans la MJC de Kawéni jusqu'au samedi 12h30. À 15h00, les lieux étaient réquisitionnés pour permettre l'accueil des familles logées précairement dans l'île aux parfums avant le passage du cyclone Belna.
Cette année, Mayotte a décidé d'accueillir les lauréats régionaux de l'année dernière et ceux de cette année en même temps. Une opération lourde qui a pu être menée à bien grâce à diffréents partenaires : l'association GEMTIC et la CCI de Mayotte, partenaires historiques depuis 2013, mais aussi le Département, la Préfecture, la ville de Mamoudzou, l'Organisation Internationale de la Francophonie et différents sponsors privés.
Durant 48 heures, les candidats ont planché sur le sauvetage de la planète par des extra-terrestre qui veulent donner une seconde chance à l'espèce humaine. En prenant exemple sur le woofing, cette pratique qui consiste à vivre et travailler chez les agriculteurs en échange d'un apprentissage, du gîte et du couvert, les extra-terrestre cherchent à développer cette pratique au niveau interstellaire. Les humains doivent tirer profit d'exemples d'autres planètes pour tenter de sauver la leur.
Des équipes sélectionnées en 2018, c'est celle de Mayotte qui remporte le 1er prix grâce à un site clair, très visible et d'une belle qualité graphique.
Parmi celles de 2019, c'est La Réunion qui gagne le concours grâce à une connexion à la 1ère page du site des plus originales : pas de login ni de mot de passe mais une connexion via webcam et reconnaissance faciale, pour savoir si c'est un humain ou un extra-terrestre !
Cette action a permis également à 15 femmes développeur-web des Comores des gérer un projet en temps limité avec l'aide d'autres développeurs.
L'épreuve s'est déroulé dans la MJC de Kawéni jusqu'au samedi 12h30. À 15h00, les lieux étaient réquisitionnés pour permettre l'accueil des familles logées précairement dans l'île aux parfums avant le passage du cyclone Belna.
Deux compétitions en une
En 2018, la finale de la WebCup océan Indien n'avait pas pu se dérouler. Le pays hôte, les Seychelles, n'avait pas réussi à boucler son budget dans les temps.Cette année, Mayotte a décidé d'accueillir les lauréats régionaux de l'année dernière et ceux de cette année en même temps. Une opération lourde qui a pu être menée à bien grâce à diffréents partenaires : l'association GEMTIC et la CCI de Mayotte, partenaires historiques depuis 2013, mais aussi le Département, la Préfecture, la ville de Mamoudzou, l'Organisation Internationale de la Francophonie et différents sponsors privés.