Originaire de St-André, Nadia Payet travaille chez Google, aux Etats-Unis, comme directrice du département technique en charge de la navigation GPS. Cette ingénieure de 36 ans participe à la Fête de la science, pour encourager les femmes à s’engager vers les sciences et les technologies.
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« Ce qui me motive, c’est inspirer la jeune génération réunionnaise. » Avec son accent américain, Nadia Payet veut partager l’expérience qu’elle vit à Seattle depuis 14 ans. « C’était un peu le rêve américain. J’ai découvert les possibilités d’apprentissage qui n’existaient pas encore en France. Ca a bien changé. Même à La Réunion, on a une école d’ingénieurs maintenant » se félicite la responsable de Google Maps, invitée de la matinale sur Réunion La 1ère radio.
Un parcours aussi exceptionnel, est-ce donné à tout le monde ? « Je pense, oui. Moi, yab de Saint-André, j’y suis bien arrivée. Y’a que le travail qui parle. Et la persévérance. Faut juste ‘‘pas largue lo bout !’’ » lance Nadia Payet dans un éclat de rire, en incitant à « avoir des rêves plus grands que ce qu’on pense pouvoir avoir. »
La Faculté des sciences et technologies, qui l’invite dans le cadre de la Fête de la science, ne compte que 38% d’étudiantes. Des femmes pas toujours bienvenues dans cet univers très masculin : « Quand je suis dans une réunion par exemple, je suis la seule femme souvent. Les gens qui ne me connaissent pas assument directement que je ne suis pas ‘‘en tech’’. »
Au contraire, Nadia Payet se décrit comme une « fervente ambassadrice des femmes en technologie. » Elle animera une conférence le vendredi 16 novembre, à 16h, sur le campus du Moufia (amphi Charpak).
Un parcours aussi exceptionnel, est-ce donné à tout le monde ? « Je pense, oui. Moi, yab de Saint-André, j’y suis bien arrivée. Y’a que le travail qui parle. Et la persévérance. Faut juste ‘‘pas largue lo bout !’’ » lance Nadia Payet dans un éclat de rire, en incitant à « avoir des rêves plus grands que ce qu’on pense pouvoir avoir. »
Ambassadrice des femmes en technologie
La Faculté des sciences et technologies, qui l’invite dans le cadre de la Fête de la science, ne compte que 38% d’étudiantes. Des femmes pas toujours bienvenues dans cet univers très masculin : « Quand je suis dans une réunion par exemple, je suis la seule femme souvent. Les gens qui ne me connaissent pas assument directement que je ne suis pas ‘‘en tech’’. »
Au contraire, Nadia Payet se décrit comme une « fervente ambassadrice des femmes en technologie. » Elle animera une conférence le vendredi 16 novembre, à 16h, sur le campus du Moufia (amphi Charpak).
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