Le mystère de l’Oiseau blanc, l’avion des Français Nungesser et Coli disparu le 8 mai 1927 lors de la première tentative de traversée de l’Atlantique, demeure entier après quatorze jours passés à sonder les fonds marins.
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Depuis 2009, Bernard Decré, passionné d’aéronautique, vient mener des recherches autour de St Pierre et Miquelon, persuadé que l’avion s’est abîmé en mer au large de cet archipel français d’Amérique du nord. Cette campagne était la 4e menée par M. Decré qui espérait retrouver le moteur de l’Oiseau Blanc.
Une équipe de quatre marins et ingénieurs a ratissé une petite zone de deux kilomètres près des côtes, à bord d’une vedette équipée d’un sonar et d’un magnétomètre, pour repérer les masses métalliques dans le fond des mers.
L’avant dernier jour des recherches, l’espoir a gagné l’équipe de Bernard Decré. Une masse d’environ 200 kg a été repérée, poids estimé du moteur tant convoité de l’Oiseau blanc. Des plongeurs de la marine nationale sont allés explorer la zone, sur un rayon de 10 mètres autour de la cible, mais n’ont rien trouvé.
"Il peut s’agir d’une ancre, d’un engin de pêche, mais aussi du moteur de l’Oiseau blanc. Et même si les chances que ce soit lui sont similaires à celles que l’on a de gagner au loto, la piste mérite d’être vérifiée", affirme Bernard Decré. Les plongeurs du patrouilleur le Fulmar retourneront sur la zone et élargiront le cercle de leurs recherches dans les prochains mois.
Après cette campagne Bernard Decré et son équipe restent positifs : "Nous ne sommes pas déçus. Nous savons où il n’est pas. C’est déjà un grand pas !" Le président de l’association "A la recherche de l’Oiseau Blanc" prépare déjà sa campagne 2013. Il compte de nouveau venir trois semaines en juin, avec, cette fois, des moyens aériens pour quadriller la zone plus rapidement.
Bernard Decré fouille les fonds marins et les archives internationales depuis plusieurs années, persuadé que l’avion des deux Français s’est abîmé en mer dans l’Atlantique nord alors qu’ils étaient sur le point de boucler la première traversée entre Paris et New York, 12 jours avant le célèbre exploit de l’Américain Charles Lindbergh.
Une équipe de quatre marins et ingénieurs a ratissé une petite zone de deux kilomètres près des côtes, à bord d’une vedette équipée d’un sonar et d’un magnétomètre, pour repérer les masses métalliques dans le fond des mers.
L’avant dernier jour des recherches, l’espoir a gagné l’équipe de Bernard Decré. Une masse d’environ 200 kg a été repérée, poids estimé du moteur tant convoité de l’Oiseau blanc. Des plongeurs de la marine nationale sont allés explorer la zone, sur un rayon de 10 mètres autour de la cible, mais n’ont rien trouvé.
"Il peut s’agir d’une ancre, d’un engin de pêche, mais aussi du moteur de l’Oiseau blanc. Et même si les chances que ce soit lui sont similaires à celles que l’on a de gagner au loto, la piste mérite d’être vérifiée", affirme Bernard Decré. Les plongeurs du patrouilleur le Fulmar retourneront sur la zone et élargiront le cercle de leurs recherches dans les prochains mois.
Après cette campagne Bernard Decré et son équipe restent positifs : "Nous ne sommes pas déçus. Nous savons où il n’est pas. C’est déjà un grand pas !" Le président de l’association "A la recherche de l’Oiseau Blanc" prépare déjà sa campagne 2013. Il compte de nouveau venir trois semaines en juin, avec, cette fois, des moyens aériens pour quadriller la zone plus rapidement.
Bernard Decré fouille les fonds marins et les archives internationales depuis plusieurs années, persuadé que l’avion des deux Français s’est abîmé en mer dans l’Atlantique nord alors qu’ils étaient sur le point de boucler la première traversée entre Paris et New York, 12 jours avant le célèbre exploit de l’Américain Charles Lindbergh.