Le seul abattoir de l'archipel pèse trop lourd sur les épaules de la commune de Miquelon-Langlade. Une réunion de concertation a eu lieu jeudi en présence des acteurs locaux. Une première étape visant à identifier les difficultés pour ensuite proposer des solutions concrètes.
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À plusieurs reprises depuis l'ouverture en juillet 2018 de l'abattoir de Miquelon-Langlade, la municipalité a mis en avant une gestion trop lourde pour la commune. Jugé peu adapté, trop coûteux notamment en ce qui concerne la main d'oeuvre, l'établissement ne répond pas non plus aux attentes des agriculteurs.
Le maire de Miquelon-Langlade, Franck Detcheverry, s'est engagé à traiter ce dossier lors de son élection. Jeudi 12 novembre, la municipalité, la collectivité territoriale, la DTAM ainsi que la Cacima se sont retrouvées dans les locaux de la délégation préfectorale, à Miquelon. L'objectif de cette première concertation : établir un calendrier pour mener à bien un diagnostic permettant à terme de régler les problèmes structurels.
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"Le cahier des charges de l'étude va être établi avant la fin du mois, a précisé Franck Detcheverry, le maire de Miquelon-Langlade, à l'issue de cette réunion. Nous nous fixons un objectif en début d'année pour le rendu de l'étude, si la situation sanitaire nous le permet". Le maire espère ensuite que les recommandations seront appliquées rapidement. La question de la gouvernance devrait notamment être au cœur des discussions. L'étude devrait être financée par la collectivité territoriale, l'État et les deux mairies.
Reportage de Clémentine Baude et Aldric Lahiton :
Le maire de Miquelon-Langlade, Franck Detcheverry, s'est engagé à traiter ce dossier lors de son élection. Jeudi 12 novembre, la municipalité, la collectivité territoriale, la DTAM ainsi que la Cacima se sont retrouvées dans les locaux de la délégation préfectorale, à Miquelon. L'objectif de cette première concertation : établir un calendrier pour mener à bien un diagnostic permettant à terme de régler les problèmes structurels.
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