Coronavirus : la diaspora de Saint-Pierre et Miquelon raconte son confinement [épisode 5]

A cause du coronavirus, ils sont loin de leur famille, de leurs amis. Confinés et isolés, trois membres de la diaspora de Saint-Pierre et de Miquelon, actuellement au Canada, nous livrent leur quotidien et leurs recettes pour tenir.
 
Chacun le mesure, le confinement, ça n'est pas facile. Et encore moins quand on se trouve loin de son cercle familial et social. Nous vous proposons une série de trois témoignages de Saint-Pierrais et Miquelonnais qui s'expriment sur leur quotidien au Canada. C'est aussi notre moyen de garder le contact.
 

Jean-Guy, dans un couvent à la Baie-Saint-Paul


Le Saint-Pierrais Jean-Guy Poirier suit le confinement depuis l'auberge des balcons à la Baie-Saint-Paul, un lieu atypique pour s'isoler.
 

C’est un lieu avec des bonnes vibrations, très agréable à vivre, en tout cas je m’y sens bien. - Jean-Guy Poirier, confiné dans un couvent à la Baie-Saint-Paul

 
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Nicolas, confiné à Ottawa au Canada


A 33 ans, le Saint-Pierrais Nicolas Fouchard, résident de Gatineau, au Québec, est un des gardes du corps de la famille de Justin Trudeau, le premier ministre canadien. Il travaille ainsi à Ottawa et vient de passer deux semaines à l'isolement.

Les gens commencent à comprendre que c'est plus sérieux qu'au début. - Nicolas Fouchard, confiné à Ottawa au Canada

 
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Marc, en confinement à Toronto


Malgré le confinement, il ne chôme pas. Marc Cormier, professeur de mathématiques dans les écoles francophones de Toronto est également conseiller consulaire.
 

Une salle de classe, c’est vivant, alors que là on est séparés, à travers plein de petits écrans. - Marc Cormier, confiné à Toronto au Canada

 
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