Les restes d'une ancienne goélette découverts par un promeneur le 19 juin fait l'objet de toutes les attentions. Une enquête est actuellement menée par le département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines pour tenter d'identifier la mystérieuse épave.
Elle suscite beaucoup d'interrogations. L'épave d'une goélette en bois a été découverte et photographiée par Jean-Pascal Dodeman il y a plusieurs jours. Quel est son nom ? En quelle année a-t'elle été construite ? Comment s'est-elle échouée et pourquoi ? Autant de questions à ce jour sans réponse.
Pour tenter d'identifier l'épave retrouvée sur la côte ouest de l'isthme de Miquelon-Langlade, le DRASSM, le département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines mène l'enquête.
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Pour l'aider dans cette tâche, les agents de la DTAM ont procédé à la modélisation de la structure de bois grâce à l'utilisation de drones. Ces aéronefs ont été utilisés pour avoir des images plus précises afin de permettre une modélisation en 3D. Les agents de la DTAM espèrent en apprendre plus sur cette embarcation grâce au DRASSM de Marseille. Cette reconstitution virtuelle permettra peut être de mettre un nom sur cet ancien navire.
Ce travail de reconstition n'est pas une première, elle a déjà été menée sur d'autres bateaux par le passé. Une collaboration importante pour le recensement des navires.
A la découverte des traces du passé avec ce reportage signé Claudio Arthur et Charlotte Boniteau
Pour tenter d'identifier l'épave retrouvée sur la côte ouest de l'isthme de Miquelon-Langlade, le DRASSM, le département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines mène l'enquête.
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Pour l'aider dans cette tâche, les agents de la DTAM ont procédé à la modélisation de la structure de bois grâce à l'utilisation de drones. Ces aéronefs ont été utilisés pour avoir des images plus précises afin de permettre une modélisation en 3D. Les agents de la DTAM espèrent en apprendre plus sur cette embarcation grâce au DRASSM de Marseille. Cette reconstitution virtuelle permettra peut être de mettre un nom sur cet ancien navire.
" Ce protocole consiste à prendre des photos à différentes hauteurs et aussi couvrir l'ensemble de la surface sur laquelle se trouve l'épave. Une fois qu'on a mis ces photos dans notre logiciel de photogrammétrie, on les assemble toutes. Ils essaient de retrouver les pixels communs à chaque photo et à partir de là on peut reconstituer l'épave en 3D. " - Alexandre Hublart, administrateur de données cartographiques à la DTAM
Ce travail de reconstition n'est pas une première, elle a déjà été menée sur d'autres bateaux par le passé. Une collaboration importante pour le recensement des navires.
"L'intérêt est certain pour le DRASSM car ils ne sont pas obligé de se déplacer sur place". Jean-Pierre Michelin, responsable unité aménagement du territoire à la DTAM
A la découverte des traces du passé avec ce reportage signé Claudio Arthur et Charlotte Boniteau