Sept nageurs ont profité de belles conditions climatiques pour faire le tour de l'île aux marins en palmes, masque, tuba. Les membres de l'association Nemo ont parcouru quatre kilomètres en un peu moins de deux heures.
Ils sont nombreux sur le P'tit Gravier ce samedi 12 septembre au matin, direction l'Île aux Marins. Parmi les passagers, sept vont visiter l'île différemment, en combinaison, masque et tuba. Un tour à la nage de ce petit paradis. Quatre kilomètres dans une eau à moins de vingt degrés. Cette aventure n’est pas une course, mais une «balade ».
Toutes les précautions sont prises pour assurer la sécurité des nageurs avec deux bateaux suiveurs et quatre kayaks. Une surveillance assurée en mer et sur terre. Claude va suivre le long du littoral : "Je vais faire le parcours qu'ils vont faire à la nage, je vais le faire sur la terre en fait." A 10h40, les nageurs se jettent à l'eau. Jean Claude installé sur sa plate, veille sur les nageurs : "Mon rôle c'est de vérifier que la manifestation se passe en toute sécurité, de récupérer, éventuellement les nageurs qui seraient à bout de souffle ou qui auraient un petit pépin physique. Et aussi je fais le lien avec les autorités locales pour signaler la manifestation et surtout s'il y a un problème."
Chaque nageur va à son rythme. Certains ont quelques difficultés. Un challenge qui selon Jean-Claude nécessite de l'entraînement : "C'est quand même une nage en mer, il faut être familiarisé avec le milieu marin, avec les fonds marins, avec l'équipement" À l'arrivée, le souffle est court chez les nageurs mais le visage est émerveillé, après deux heures de contemplation des fonds marins.
Ce défi de fin de saison en cache peut-être un autre. La semaine prochaine, l'association NEMO voudrait réitérer l'événement.
Le reportage de Samuel Monod et Agathe Tournoux :
"Pour moi, personnellement, c'est un challenge. Cela fait longtemps que je veux le faire et je n'ai jamais osé sauter à l'eau. Et voir aussi ce qu'il se passe sous l'eau, c'est tellement beau !" - Stéphanie, nageuse
Nager en toute sécurité
Toutes les précautions sont prises pour assurer la sécurité des nageurs avec deux bateaux suiveurs et quatre kayaks. Une surveillance assurée en mer et sur terre. Claude va suivre le long du littoral : "Je vais faire le parcours qu'ils vont faire à la nage, je vais le faire sur la terre en fait." A 10h40, les nageurs se jettent à l'eau. Jean Claude installé sur sa plate, veille sur les nageurs : "Mon rôle c'est de vérifier que la manifestation se passe en toute sécurité, de récupérer, éventuellement les nageurs qui seraient à bout de souffle ou qui auraient un petit pépin physique. Et aussi je fais le lien avec les autorités locales pour signaler la manifestation et surtout s'il y a un problème."
Une pratique qui nécessite de l'entraînement
Chaque nageur va à son rythme. Certains ont quelques difficultés. Un challenge qui selon Jean-Claude nécessite de l'entraînement : "C'est quand même une nage en mer, il faut être familiarisé avec le milieu marin, avec les fonds marins, avec l'équipement" À l'arrivée, le souffle est court chez les nageurs mais le visage est émerveillé, après deux heures de contemplation des fonds marins.
"De belles choses à voir, c'était tranquille, ce n'était pas une course. On a évolué en groupe, les conditions étaient bonnes !" - Eric, nageur
Ce défi de fin de saison en cache peut-être un autre. La semaine prochaine, l'association NEMO voudrait réitérer l'événement.
Le reportage de Samuel Monod et Agathe Tournoux :