Si la brume semble se faire de plus en plus timide depuis ce lundi 24 juillet et que le soleil fait quelques apparitions, certaines fleurs n'ont pas survécu dans les jardins.
En effet, la brume a été très présente depuis plus d'un mois à Saint-Pierre et Miquelon. Du coup, le taux d'humidité était donc très élévé, 100 % certains jours, et ce au grand désarroi de Jean Luberry.
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L'octogénaire passe environ huit heures par jour dans son jardin et dans sa serre pour bichonner ses fleurs et ses tomates. Après les pluies diluviennes de ces dernières 48 heures, force est de consater les dégats.
L'humidité se dépose sur les boutons et sur les fleurs ouvertes et ça les fait pourrir. Après il n'y a plus rien à faire. Il faut les couper.
Jean Luberry, jardinier amateur
Même dans la serre, les tomates ont du mal à murir. Malgré les mauvaises conditions météorologiques des dernières semaines, Jean-Luberry reste optimiste.
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Alors quelles sont les conséquences pour les jardiniers et leurs plantations ? Le reportage de Calypso Vanier et de Céline Latchimy-Irissin.