Des chercheurs du CNRS et de l'IFREMER de Brest ont réalisé plusieurs plongées afin d'étudier de plus près les coquilles de l'archipel. L'objectif était bien précis.
Les scientifiques l'ont prouvé. Les coquilles saint-jacques enregistrent la température de l'eau de mer dans leur squellette externe.
Ce sont donc de véritables trésors pour les chercheurs. Et ces précieuses archives environnementales tapissent les fonds marins de Saint-Pierre et Miquelon.
A l'image de la palourde noire qui a la particularité de vivre plusieurs centaines d'années. Le records actuel est de plus de 500 ans. A l'intérieur : des informations sur l'environnement qui remontent donc à bien plus loin dans le temps.
C'est pour ces raisons que le CNRS et l'IFREMER de Brest s'y intéressent de très près. Des dizaines de coquilles ont été équipées de capteurs à l'entrée du port de Saint-Pierre.
Les scientifiques ont aussi installé des courantomètres et plusieurs thermomètres au fond de l'eau. Ils ont fait une découverte surprenante.
Voyez le reportage consacré à cette mission scientifique réalisé par Frédéric Dotte et nos équipes
Ce sont donc de véritables trésors pour les chercheurs. Et ces précieuses archives environnementales tapissent les fonds marins de Saint-Pierre et Miquelon.
A l'image de la palourde noire qui a la particularité de vivre plusieurs centaines d'années. Le records actuel est de plus de 500 ans. A l'intérieur : des informations sur l'environnement qui remontent donc à bien plus loin dans le temps.
C'est pour ces raisons que le CNRS et l'IFREMER de Brest s'y intéressent de très près. Des dizaines de coquilles ont été équipées de capteurs à l'entrée du port de Saint-Pierre.
Les scientifiques ont aussi installé des courantomètres et plusieurs thermomètres au fond de l'eau. Ils ont fait une découverte surprenante.
Voyez le reportage consacré à cette mission scientifique réalisé par Frédéric Dotte et nos équipes