Depuis 2017, le DRASSM répertorie les épaves qui se sont échouées sur les côtes. Il y en a plusieurs centaines. En partenariat avec la DTAM (Direction des Territoires, de l'Alimentation et de la Mer), un nouveau relevé a été effectué du côté de Miquelon à la pointe aux Alouettes.
Cette fois, c'est du côté de Miquelon que la DTAM (la Direction des Territoires, de l'Alimentation et de la Mer) a effectué les relevés photogramétriques qui ont été envoyés au DRASSM (le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines). Cela ne fait que quelques mois que le protocole, avec les images aériennes a été mis en place. Arrivée par la mer, l'équipe de techniciens a procédé à l'expertise de l'épave.
Reportage Martine BRIAND et Jérôme ANGER
Pour effectuer l'observation, ils utilisent un drone et photographient des repères placés à côté, et sur la structure. Les données sont ensuite envoyées à Marseille afin qu'un modèle 3D puisse être réalisé.
Le point de vestige avait déjà été étudié l'an dernier, mais la prise de vue aérienne n'avait pas été possible, en raison des conditions climatiques.
À l'heure actuelle, après trois campagnes, 47 sites sont référencés à Miquelon, Langlade et Saint-Pierre. L'archipel ne compte toutefois pas d'archéologue-relais qui pourrait collecter les nouvelles découvertes, suite aux événements météorologiques et pas seulement en période estivale.
Pour aller plus loin :
> Quand l'histoire des épaves de Saint-Pierre et Miquelon refait surface
L'objectif pour le DRASSM (le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines) était d'avoir une vision complète des sites. C'est donc un premier état des lieux.
Malheureusement, compte tenu de la situation sanitaire actuelle, le DRASSM ne viendra pas cette année. La campagne de référencement est reportée à l'année prochaine.
Reportage Martine BRIAND et Jérôme ANGER
Le point de vestige avait déjà été étudié l'an dernier, mais la prise de vue aérienne n'avait pas été possible, en raison des conditions climatiques.
"On effectue le protocole à la lettre, on va tourner autour à différentes hauteurs entre 10 et 20 mètres."
Il pourrait s'agir de la deuxième partie de l'épave de l'Arc-en-ciel
À l'heure actuelle, après trois campagnes, 47 sites sont référencés à Miquelon, Langlade et Saint-Pierre. L'archipel ne compte toutefois pas d'archéologue-relais qui pourrait collecter les nouvelles découvertes, suite aux événements météorologiques et pas seulement en période estivale.
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L'objectif pour le DRASSM (le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines) était d'avoir une vision complète des sites. C'est donc un premier état des lieux.
Malheureusement, compte tenu de la situation sanitaire actuelle, le DRASSM ne viendra pas cette année. La campagne de référencement est reportée à l'année prochaine.