La future gare maritime est encore en construction, mais les agents de la douane, eux, sont déjà installés dans ce bâtiment. Les désagréments sont nombreux. Des tuiles se sont même effondrées dans l'entrée.
A Saint-Pierre, les locaux de la douane sont neufs, agréables. Et pourtant, le lieu n'est pas idéal pour travailler. Dans ce même bâtiment, la future gare maritime est en construction.
Et les problèmes liés à ces travaux se multiplient. Récemment, des tuiles et des armatures en métal du plafond se sont effondrées alors même qu'un agent se trouvait dans cette entrée.
"Il y a eu des appels d'air. Le plafond a bougé et l'agent en question n'a pas eu le temps de faire le code pour entrer que tout lui est tombé sur la tête", explique Marie-Christine Saliba, chef du service des douanes.
Dans un bureau, des infiltrations dégagent une forte odeur de moisissure. Sans compter sur les désagréments liés aux travaux : eau régulièrement coupée, nuisances sonores...
Cette situation inconfortable pousse les agents à se demander si la meilleure solution n'aurait pas été d'attendre la fin des travaux pour emménager...
Le reportage de Mathias Raynaud et Aldric Lahiton
Peut-on parler de malfaçons? Y a-t-il eu un problème de conception? Non, répond l'architecte. "Ce n'est ni un défaut de conception, ni un défaut de réalisation, lance
Rodolphe Victorri. C'est une absence de réalisation de certains ouvrages qui fait que nous avons aujourd'hui des problèmes d'étanchéité."
L'entreprise n'a effectivement pas eu le temps de terminer les travaux définitifs avant l'arrivée de l'hiver. L'architecte estime qu'il aurait été "plus confortable pour tout le monde que les douanes trouvent d'autres locaux pendant les travaux".
Retrouvez l'interview de Rodolphe Victorri
Et les problèmes liés à ces travaux se multiplient. Récemment, des tuiles et des armatures en métal du plafond se sont effondrées alors même qu'un agent se trouvait dans cette entrée.
"Il y a eu des appels d'air. Le plafond a bougé et l'agent en question n'a pas eu le temps de faire le code pour entrer que tout lui est tombé sur la tête", explique Marie-Christine Saliba, chef du service des douanes.
Dans un bureau, des infiltrations dégagent une forte odeur de moisissure. Sans compter sur les désagréments liés aux travaux : eau régulièrement coupée, nuisances sonores...
Cette situation inconfortable pousse les agents à se demander si la meilleure solution n'aurait pas été d'attendre la fin des travaux pour emménager...
Le reportage de Mathias Raynaud et Aldric Lahiton
Peut-on parler de malfaçons? Y a-t-il eu un problème de conception? Non, répond l'architecte. "Ce n'est ni un défaut de conception, ni un défaut de réalisation, lance
Rodolphe Victorri. C'est une absence de réalisation de certains ouvrages qui fait que nous avons aujourd'hui des problèmes d'étanchéité."
L'entreprise n'a effectivement pas eu le temps de terminer les travaux définitifs avant l'arrivée de l'hiver. L'architecte estime qu'il aurait été "plus confortable pour tout le monde que les douanes trouvent d'autres locaux pendant les travaux".
Retrouvez l'interview de Rodolphe Victorri