Deux anciens cadres de l’hôtel Lux de St Gilles vont devant les Prud’hommes ce mardi 10 décembre.
Ils accusent leur supérieur de harcèlement moral. Ils réclament des dommages et intérêts pour préjudice financier et moral.
Ils avaient été licenciés en avril 2018.
Ils accusent leur supérieur de harcèlement moral. Ils réclament des dommages et intérêts pour préjudice financier et moral.
Ils avaient été licenciés en avril 2018.
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En août dernier, l’affaire avait fait grand bruit dans le secteur touristique. Deux salariés de l’hôtel Lux à Saint-Gilles avaient mis en cause leur directeur après leur licenciement en avril 2018.
Ils avaient publié de faux commentaires, des avis bidons, et faslsifier des notes afin de mieux capter sa clientèle sur des sites comme Tripadvisor. Telles sont les pratiques douteuses de l’hôtel Lux. L’établissement 5 étoiles de Saint-Gilles les bains ne lésinait pas, semble-t-il, sur des moyens peu orthodoxes pour discréditer ses principaux concurrents, à savoir le Blue Margouillat et le Palm.
La révélation de ces procédés contraires à l’éthique même de la profession avait ébranlé le milieu touristique à l’époque.
Les deux anciens cadres accusent leur directeur, qui a depuis quitté son poste, d’avoir fait pression sur eux pour manipuler les chiffres et rédiger de faux avis de clients afin de déstabiliser et ternir l’image de la concurrence.
Aujourd’hui, ils réclament 144 000 et 115 000 euros de dommages et intérêts. Ils estiment avoir servi de fusibles.
Mais la direction mauricienne a une tout autre lecture du dossier et considère que la responsabilité des deux cadres est incontestable et justifie ainsi leur licenciement pour cause réelle et sérieuse.
Un reportage de Michele Bertile sur des images d'archives montées par Dany Rosamel
Ils avaient publié de faux commentaires, des avis bidons, et faslsifier des notes afin de mieux capter sa clientèle sur des sites comme Tripadvisor. Telles sont les pratiques douteuses de l’hôtel Lux. L’établissement 5 étoiles de Saint-Gilles les bains ne lésinait pas, semble-t-il, sur des moyens peu orthodoxes pour discréditer ses principaux concurrents, à savoir le Blue Margouillat et le Palm.
La révélation de ces procédés contraires à l’éthique même de la profession avait ébranlé le milieu touristique à l’époque.
Les deux anciens cadres accusent leur directeur, qui a depuis quitté son poste, d’avoir fait pression sur eux pour manipuler les chiffres et rédiger de faux avis de clients afin de déstabiliser et ternir l’image de la concurrence.
Aujourd’hui, ils réclament 144 000 et 115 000 euros de dommages et intérêts. Ils estiment avoir servi de fusibles.
Mais la direction mauricienne a une tout autre lecture du dossier et considère que la responsabilité des deux cadres est incontestable et justifie ainsi leur licenciement pour cause réelle et sérieuse.
Un reportage de Michele Bertile sur des images d'archives montées par Dany Rosamel
Deux anciens cadres de l'hôtel Lux poursuivent leur direction devant les Prud'hommes
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