Depuis le 24 mars, le palangrier taïwanais Fwu Fa No.12 n'a plus donné signe de vie. Il avait appareillé de l'île Maurice avec 13 membres d'équipage à bord, en compagnie d'un autre palangrier taïwanais, le Fwu Fa No. 6. Le CROSS de La Réunion et les gardes-côtes mauriciens ont lancé des recherches
C'est l'inquiétude, selon les termes même de la Préfecture de La Réunion, sur le sort de treize marins taïwanais et indonésiens. Ils avaient quitté leur base arrière située à Port-Louis, Île Maurice, à bord du palangrier Fwu Fa No.12. Depuis la nuit du 24 mars, la compagnie qui opère le navire n'a plus reçu de messages. Le bateau se trouvait alors à plus de 700 km au sud-est de La Réunion. Le centre de coordination des secours de Taipei a alerté les homologues du Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage de La Réunion (CROSS Réunion) le 26 mars, après avoir effectué une enquête de leur côté.
Ce matin à 10h, l'avion des garde-côtes mauricien a décollé pour 4 heures de recherche, dans des conditions météorologiques défavorables. Sur place, un navire de commerce grec a pris la relève des autres bâtiments qui participaient aux reconnaissances.
Hier, les bateaux qui opéraient dans la zone, comme les palangriers Fwu Fa No. 6 et Ile de La Réunion, ou ceux de commerce qui naviguaient dans la zone de disparition, ont tous été déroutés. La région de recherche couvre plus de 22000 km2. En raison de l'étendue de la surface pour les reconnaissances, le transall C-160 des Forces Armées de la Zone Sud Océan Indien (FAZSOI) a été déployé hier ainsi que le Dornier des gardes-côtes mauriciens. Aujourd'hui, seul ce dernier est entré en action.
Trois hypothèses sont évoquées
La première serait que le bâtiment ait été victime d'une panne générale de courant. Cela lui interdirait de communiquer, voire de se déplacer. Le navire dériverait alors selon les courants et les vents qui peuvent être très forts dans cette zone appelée les 40èmes Rugissants.
L'autre serait que le palangrier ait sombré pour une raison à déterminer. Dans ce cas, ce sont des débris et un radeau de survie que les secours recherchent.
La dernière hypothèse serait une mutinerie de la part des marins indonésiens. Ils auraient alors pris le contrôle du navire et seraient en fuite.
Ce matin à 10h, l'avion des garde-côtes mauricien a décollé pour 4 heures de recherche, dans des conditions météorologiques défavorables. Sur place, un navire de commerce grec a pris la relève des autres bâtiments qui participaient aux reconnaissances.
Hier, les bateaux qui opéraient dans la zone, comme les palangriers Fwu Fa No. 6 et Ile de La Réunion, ou ceux de commerce qui naviguaient dans la zone de disparition, ont tous été déroutés. La région de recherche couvre plus de 22000 km2. En raison de l'étendue de la surface pour les reconnaissances, le transall C-160 des Forces Armées de la Zone Sud Océan Indien (FAZSOI) a été déployé hier ainsi que le Dornier des gardes-côtes mauriciens. Aujourd'hui, seul ce dernier est entré en action.
Trois hypothèses sont évoquées
La première serait que le bâtiment ait été victime d'une panne générale de courant. Cela lui interdirait de communiquer, voire de se déplacer. Le navire dériverait alors selon les courants et les vents qui peuvent être très forts dans cette zone appelée les 40èmes Rugissants.
L'autre serait que le palangrier ait sombré pour une raison à déterminer. Dans ce cas, ce sont des débris et un radeau de survie que les secours recherchent.
La dernière hypothèse serait une mutinerie de la part des marins indonésiens. Ils auraient alors pris le contrôle du navire et seraient en fuite.